Vaccins: les nouvelles recommandations aberrantes du HCSP
Le Haut Conseil de Santé Publique (HCSP) vient de rendre ses recommandations vaccinales 2012. Décryptage de recommandations qui s’enfoncent encore un petit peu plus dans l’absurde.
A) Vaccination des femmes enceintes:
le H1N1 ayant servi de prétexte, la vaccination saisonnière leur est
désormais récommandée à tout moment de la grossesse. Au nom de leur
protection et de celle de l’enfant, bien entendu.
Il s’agit cependant d’une grosse aberration à la lueur:
- du principe général de précaution pour TOUT MEDICAMENT NON INDISPENSABLE chez cette population particulière
- des risques particuliers d’une telle vaccination, propres à l’état de grossesse et évoqués par plusieurs spécialistes.
La vaccination des femmes enceintes au
cours de la fausse pandémie de 2009 était donc une gigantesque
expérimentation et du même coup, une occasion rêvée pour les fabricants
de pouvoir étendre leurs marchés au cours des années futures.
Le Pr Daniel Floret n’a cependant pas
manqué d’humour en écrivant notamment dans l’éditorial du Bulletin
Epidémiologique hebdomadaire du 10 avril 2012 que: « De par le
monde, un nombre significatif de femmes enceintes a été vacciné contre
la grippe durant la pandémie, sans dommage démontré ni pour la mère ni
pour le foetus. » Etrangement, il a dû omettre cette hausse très inquiétante de 700% des fausses couches chez les femmes enceintes américaines tout en sachant qu’elles « bénéficiaient » pourtant d’un vaccin sans adjuvant!
B) Vaccination des enfants contre la grippe avec le Fluenz (vaccin en spray)
Une vaccination préconisée aux enfants
à risque de 2 à 17 ans soit ceux présentant des problèmes cardiaques,
neurologiques ou immunitaires.
Une autre aberration donc tant pour la collectivité
que pour ces enfants déjà affaiblis qui encoureront un sur-risque
d’hospitalisation en-déans les 6 mois qui suivent cette vaccination
(tout de même!!)
C) Vaccination dès la maternité pour tous les enfants de Guyane et de Mayotte contre l’hépatite B et la tuberculose.
Il s’agit là aussi d’une aberration
abyssale puisque le système immunitaire des enfants n’est pas
pleinement mature avant 6 à 7 ans d’âge d’une part et que, d’autre part,
il a déjà été scientifiquement prouvé que le fait de retarder les
premières vaccinations diminuait déjà de façon significative le
risque d’asthme (démontrant ainsi que l’agression vaccinale sur un
système immunitaire encore immature est d’autant plus lourde de
conséquences qu’elle est précoce).
Voici d’ailleurs, à titre d’exemple,
ce qui est arrivé au petit Ian Gromorski, décédé dans des souffrances
intolérables, et qui avait été vacciné très précocément après sa
naissance contre l’hépatite B, comme cela est habituellement pratiqué
aux Etats-Unis.
En outre, il faut aussi rappeler le
caractère scandaleux d’une telle recommandation aveugle (sans même la
réalisation au préalable d’un test HBs chez la mère) alors que la
vaccination anti-hépatite B entraîne un sur-risque de sclérose en plaques significatif chez l’enfant aussi et que le prétexte des officiels du jeune âge des vaccinés comme prétendue protection des risques démyélinisants, ne tient tout simplement pas.
Quant à la vaccination
anti-tuberculeuse, à part la liquidation des stocks, on peine à imaginer
une autre raison davantage valable dès lors qu’une vaccination
inefficace pendant plus de 50 ans en métropole (et ayant même entravé et
freiné la lutte contre la tuberculose selon l’avis de différents
spécialistes) peut difficilement s’avérer efficace là-bas comme par
enchantement!
D) Conseils de vaccinations tous azimuts des ados et adultes contre la coqueluche, la rougeole et… la varicelle!
Ce n’est pas assez disent-ils et on
peut d’ores et déjà le prédire: ça ne sera jamais assez, l’important
étant vraiment de fourrer des vaccins et à la limite, peu importe
lesquels. La devise pouvant en fait se résumer à ceci: « trois vaccins,
c’est toujours mieux que deux; deux vaccins, c’est toujours mieux qu’un
et surtout, surtout…. il faut au moins un vaccin, AU MOINS UN!!! »
C’est ce qui transparaît très clairement dans l’éditorial du BEH du 10 avril lorsqu’il est avoué au sujet des obèses morbides: « Les données d’efficacité de la vaccination des personnes obèses sont beaucoup moins robustes, faute d’étude spécifique. Pour cette raison, la recommandation vaccinale a été limitée aux personnes atteintes d’une obésité morbide (IMC sup. à 40 kg/m2).
» On n’a donc aucune preuve que cela fonctionne vraiment mais soit, on
va quand même la recommander chez les obèses morbides! Allez hop,
encore une autre part juteuse de marché trouvée aux fabricants!
C’est aussi le même genre de raisonnement absurde qui transparaît très clairement lorsqu’il est écrit: « Il existe des groupes de population difficiles à atteindre parce qu’ils sont en bonne santé, consultent peu
et son peu réceptifs aux messages de prévention. Il s’agit notamment
des adolescents et des jeunes adultes, chez qui les recommandations
vaccinales contre la coqueluche, la varicelle, le méningocoque C, le
papillomavirus sont difficiles à appliquer. »
Pour aider à cet objectif de chiffres
(plutôt qu’un objectif sanitaire vrai), la vaccination des adultes et
ados sera d’ailleurs justement le thème de cette 7° Semaine européenne
de la Vaccination qui débutera le 21 avril prochain, à l’initiative de
la très crédible OMS.
E) Encourager la vaccination des immunodéprimés (dont ceux sous chimiothérapie!)
Alors que les vaccins dépriment et affaiblissent le système immunitaire cfr point (18) en page 16 [de ce document
] , on recommande tout particulièrement de vacciner les gens déjà
immunologiquement affaiblis… cherchez l’erreur! Et ce alors que le Pr
Floret avoue pourtant dans le BEH que « Les recommandations vaccinales pour ces populations représentent un enjeu important et une tâche difficile en l’absence d’études vaccinales les concernant. »
Les vaccinalistes ont donc transformé
l’adage (de sagesse) populaire « Dans le doute, abstiens-toi. » en
« Dans le doute, vaccine quand même. ». Merveilleux, plein de bon sens!
Les conclusions de ces recommandations peuvent ainsi se résumer dans plusieurs grands constats incontournables :
1°) Les officiels ne se rendent même plus compte du degré interpellant d’absurdité de leurs recommandations.
La raison évidente en est bien sûr un aveuglement de type idéologique
(quand on poursuit une idéologie, aucune remise en question, aucun
retour en arrière n’est envisageable…)
2°) Les officiels répondent AVANT TOUT aux impératifs commerciaux.
Dans cette logique aussi, tout retour en arrière, toute reconsidération
du principe vaccinal est tout bonnement inconcevable,… il y a les
actionnaires, les dividendes, le chantage à l’emploi, « l’image du
pays » à l’étranger en termes de prétendues avancées technologiques et
biotechnologiques et puis l’OMS aussi, ne l’oublions pas non plus
celle-là. Ces impératifs commerciaux sous-entendent donc fatalement la
médicalisation de gens en bonne santé et la création incessante de faux
besoins par le biais de campagnes de peur et de dramatisation savamment
orchestrées.
3°) Les officiels ignorent la
désaffection vaccinale ou plutôt souhaitent à tout prix la combattre, ce
qui sous-entend qu’ils NE RESPECTENT PAS LA VOLONTE POPULAIRE ET LE
LIBRE-ARBITRE DE CHACUN.
http://www.initiativecitoyenne.be/
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