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mardi 17 décembre 2013

Le Miso

Peu de gens connaissent l’existence du Miso et pourtant cet aliment incroyable devrait faire partie de notre quotidien pour nous assurer une santé de fer. Si vous avez déjà entendu parler de l’archipel Okinawa ou se trouve la plus grande concentration de Supercentenaires au mètre carré vous saurez que cet alicament fait partie intégrante de leur hygiène de vie. Ce n’est certainement pas pour rien, voyons un peu plus ce qui se cache derrière tout ça !
Qu’est-ce que le Miso ?
Le Miso est considéré comme un nutraceutique c’est-à-dire un aliment ayant une action favorable sur la santé et des propriétés préventives et curatives.
Le Miso est une pâte de soya fermentée, il contient des fèves de soya, des céréales comme du Riz ou de l’orge, du sel et de l’eau. Sa couleur varie entre le beige, le jaune et le marron. Il possède une haute teneur en protéines et contient ce que l’on appelle des lactobacilles, des micro-organismes, des nutriments de qualité, des vitamines, des minéraux et des enzymes qui sont très intéressantes pour le corps. Cela en fait donc un probiotique naturel qui fournira des substances bioactives à votre corps et favorisera la microflore intestinale.
Le Miso est un aliment totalement Vivant à condition qu’il soit non pasteurisé évidemment ! La pasteurisation ne laissera pas indemne le trésor de vie que représente celui-ci. Donc, évitez la pasteurisation !
Le Miso va vous permettre d’améliorer votre constitution physique et de ce fait va vous aider à développer une résistance aux maladies ce qui n’est pas négligeable.
Le Miso est utilisé depuis des millénaires en Asie ! Il semblerait même que 75 % des Japonais aient troqué notre cher café matinal contre une soupe de Miso pour son effet vivifiant, stimulant et énergisant le tout, sans nocivité.
Ses bienfaits sont si grands qu’au 8e siècle, l’instance en charge de la sécurité alimentaire de la cour impériale du Japon allait jusqu’à prôner son utilité.
Le Miso a même fait office de portion du salaire des agents gouvernementaux tout comme le sel ou le riz tant ses bienfaits étaient conséquents. Il y’a même une coutume stipulant qu’une femme japonaise pour se marier doit absolument savoir préparer une soupe de Miso, intelligent ! ;-)
Son utilité est vaste, le Miso peut être utilisé pour des soupes, des sauces, des bouillons, des fromages végétaux… Il est très facile d’usage car il est tout prêt et doit simplement être rajouté dans les préparations voulues, son goût est assez fort, assez salé et unique, il est donc très pratique à cuisiner et joue très facilement un rôle de réhausseur de goût. N’ajoutez pas de sel dans vos préparations quand vous l’utilisez car la part de sel qu’il contient est largement suffisante !
Quant au procédé de fabrication du Miso, ce n’est pas de tout repos ! Il est dit que la conception de celui-ci est aussi complexe que celui du vin ou du Fromage. Je m’explique, l’élaboration de cet or marron consiste en une double fermentation qui peut aller jusqu’à 3 ans selon le type de Miso voulu !
Mais comment fabriquer le Miso ?
La première étape est la cuisson à la vapeur des graines. Ensuite celles-ci seront mélangées à de l’eau salée puis ensemencée avec le « KOJI » (c’est en fait le moût de démarrage qui contient un champignon du nom Aspergillus Oryzae). Une fermentation va alors avoir lieu et le tout vieillira traditionnellement dans des tonnelets de cèdre pendant une période X selon la qualité recherchée.
La fermentation produira alors de petites quantités d’alcool et d’acide lactique ce qui aidera à conserver le tout.
Le Miso contient (Pour 100 grammes): (Source : Standard tables of food composition, Japan)
*40% d’eau ; *224 calories ; *21 grammes de protéines ; *10.2 g de lipides ; *12g de glucides ; *1.8g de fibres ; *154mg de calcium
*264 mg de calcium ; *7.1 mg de Fer ; *0.04 mg de Vitamine B1 ; *0.13 mg de vitamines B2 ; *1.3 mg de Niacine
Le Miso est un aliment qui peut vous aider à réguler votre système en entier :
*Il va vous aider à vous protéger contre les effets négatifs de la radiation et des polluants toxiques
*Il va vous aider à vous détoxifier,
*Il va contribuer au contrôle de votre taux de cholestérol
*Il possède des actions antioxydantes
*Il va aider votre système digestif à être plus dynamique et vous débarrassera des parasites
*Il va vous aider à prévenir les maladies cardiovasculaires
*Il va vous aider à prévenir et traiter des maladies comme le cancer
*Il va vous aider à réduire l’incidence des allergies et des intolérances alimentaires
*Il va vous aider à prévenir l’hypertension
*Il va vous aider à atténuer des problèmes gastriques et leurs symptômes
*Il va vous aider à récupérer plus vite en cas de maladie
*Il va vous défendre contre les organismes pathogènes
*Il va améliorer vos défenses immunitaires et renforcer celles-ci
*Il va vous aider à atténuer les symptômes de la ménopause
*Il va jouer un rôle d’agent de longévité.
Mais comment est-ce possible qu’un aliment puisse vous aider à ce point-là ? 
Tout simplement parce qu’il contient de grandes merveilles pour tout le système !
Premièrement le Miso fait partie de ces rares aliments dits complets, ce qui lui donne déjà une grande particularité.
Effectivement le Miso ne contient pas moins d’une cinquantaine d’enzymes différentes bénéfiques pour le corps et d’incroyables micro-organismes.
De plus, il est sans cholestérol et faible en gras, c’est aussi un aliment alcalin ce qui l’avantage énormément sur le plan des protéines en comparaison aux protéines animales qui sont acidifiantes pour le système. Il contient aussi des Isoflavones que l’on ne trouve pas partout et qui ont un rôle important dans la prévention des maladies et la régulation de certaines d’entre elles. Il contient aussi des vitamines du complexe B et tous les acides aminés essentiels dont nous avons besoin pour le bon fonctionnement de notre corps qu’il n’est pas capable de synthétiser et dont nous avons besoin pour rester en vie. Ce n’est donc pas peu dire !
Mais pourquoi les enzymes sont-elles si vertueuses ?
Les enzymes ont pour rôle de transformer les molécules complexes en molécules plus simples afin de faciliter la digestion ainsi que l’assimilation. Si la digestion est mauvaise, l’assimilation sera défectueuse et de ce fait une panoplie diverse de problèmes peuvent surgir comme l’irritation du colon, des problèmes de peau, un développement de bactérie néfaste et de parasites, des allergies alimentaires, de la toxicité…
Il y’a donc 3 groupes d’enzymes importantes dans la transformation alimentaire :
*Les Proteases (Aide à scinder les protéines)
*Les Amylases (Aide à scinder les hydrates de carbones [Sucres et Amidon])
*Les Lipases (Aide à la digestion des gras et permettent d’absorber les vitamines solubles [vit A, D, E, K et tous les carotènes])
Ce qu’il faut impérativement comprendre, c’est que nous avons des enzymes dites digestives dans notre système qui nous aident tout simplement à digérer. Cependant, ce fameux stock d’enzymes digestives n’est malheureusement pas inépuisable. C’est pour cela que manger des produits crus et frais est très bénéfique pour nous car ces produits sont remplis d’enzymes qui vont nous faciliter la tâche et nous permettre de ne pas nous servir de nos propres enzymes digestives. Les enzymes de fermentations ont donc un rôle non négligeable pour une bonne santé, tout le principe de digestion et d’assimilation va s’en voir amélioré.
De plus mesdames, sachez que le Miso est un aliment hypocalorique, ce qui veut dire d’une part qu’il est très faible en calorie 15 cal par portion (1 cuillère à thé) et d’autre part sa teneur élevée en protéines va faciliter l’état de satiété, ce qui n’est pas pour déplaire ! De plus le glucose issu de la fermentation est assimilable dès l’ingestion ce qui calmera d’autant plus la faim.
Alors plus de prétexte, courez acheter un pot de Miso et essayez-le ! Moi je raffole d’une bonne soupe crue de Miso qui est d’une facilité déconcertante à préparer ou d’une super salade avec une sauce au Miso que j’adore.

lundi 30 septembre 2013

Manger des pommes



Manger des pommes régulièrement permettrait d'éviter de nombreux problèmes de santé, d'après une étude présentée au Congrès "Experimental Biology" 2008 de San Diego. Les personnes qui consomment des pommes réduiraient ainsi de 27 % leur risque de contracter un syndrome métabolique, lié à des troubles tels que le diabète ou les maladies cardiovasculaires (Sources Relax News).

D'après l'étude, qui s'appuie sur des données fournies entre 1999 et 2004 par l'enquête National Health and Nutrition Examination, les personnes mangeant des pommes ou des produits à base de ce fruit présentent une pression sanguine moins élevée.
D'autre part, le tour de taille des consommateurs de pommes est également moins important.

La pomme est un fruit merveilleux tant il est bon pour la santé. Une pomme de 150 grammes n'apporte que 70 Kcal. Autrement dit, mieux vaut la préférer à une pâtisserie en cas de petite faim. 
 
Facile à préparer la pomme se décline en une multitude de préparations, associée à des fruits, des viandes, du poisson, des abats. Elle se marie particulièrement bien au boudin noir. Cuite ou crue, la pomme peut être consommée plusieurs fois par jour.
En plus d'être pauvre en calories, elle est riche en :
  • fibres,
  • magnésium,
  • potassium,
  • phosphore,
  • vitamines,
  • fructose,
  • glucides,
  • eau,
  • antioxydants.
  •  
  • Les vitamines sont principalement concentrées dans la peau de la pomme. C'est la raison pour laquelle il est recommandé de manger sa peau crue ou cuite, après l'avoir passée sous l'eau et essuyée.
     
    La pomme aide à lutter contre le cholestérol grâce à son pouvoir d'absorption des lipides dans l'intestin. Elle exerce un pouvoir régulateur sur la pression sanguine, participe activement contre les maladies cardiovasculaires, agit directement sur la diminution des risques du cancer du côlon.
     
    Si la pomme est conseillée en cas de régime alimentaire, c'est parce qu'elle coupe la faim, évite les nombreux grignotages dangereux pour la santé et le poids. Les croqueurs de pommes ont la taille plus fine que ceux qui n'en mangent pas.
     
    Pratique, la pomme se glisse facilement dans un sac et se déguste partout. Elle permet, lors d'une activité physique, de redonner un coup de fouet en cas de coup de barre grâce aux fructoses et aux glucides qui la composent. Composée à 85 % d'eau, elle réhydrate et désaltère.
     
    Les femmes enceintes ont intérêt à consommer des pommes.
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  • Associé au poisson, ce fruit contribue à la bonne santé du bébé.
  • Des études ont démontré que cette association pomme et poisson protège le bébé contre l'eczéma et l'asthme à long terme. Cette protection semble être due aux antioxydants que contient la pomme.
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  •  Une future maman a donc tout intérêt à manger plusieurs pommes par jour cuites et crues.
     
  • Crue, cuite ou en jus, la pomme est une mine de bienfaits pour la santé des petits et des grands. Économique, on la trouve toute l'année en de nombreuses variétés.
     
    La pomme contient une grande variété d’antioxydants qui permettent de prévenir les cancers, en particulier le cancer du poumon, ainsi que les maladies cardiovasculaires. Pour profiter de cet atout de la pomme, il est préférable de la consommer avec sa peau, qui possède davantage de pouvoir antioxydant que sa chair.
     
    Des études ont par ailleurs démontré qu’une consommation régulière de pomme pouvait avoir des effets positifs sur les fonctions respiratoires et ainsi prévenir l’asthme.
     
    La pomme contient d’importantes quantités de fibres. La moitié de ces fibres sont solubles, en particulier de la pectine. Celle-ci, particulièrement présente dans la peau de la pomme, permet de diminuer le cholestérol, notamment le mauvais cholestérol. Il faut toutefois pour cela consommer deux ou trois pommes par jour. Sa richesse en fibre permet, même avec des quantités moindres, de réguler le transit intestinal.
     
    La pomme est riche en vitamines, notamment des vitamines du groupe B et E, ainsi que des vitamines C. Notez que la peau des pommes concentre davantage de vitamines C que sa chair. Cuire la pomme diminue également son apport vitaminique. Elle contient par ailleurs 85 % d’eau, ce qui, en plus de vous rafraîchir et de vous désaltérer, vous apporte de multiples minéraux et oligo-éléments, en particulier du potassium.
     
    La pomme est un fruit modérément calorique car elle ne contient en moyenne que 80 calories. Elle est ainsi le coupe-faim idéal dans le cadre d’une alimentation saine. Ces calories sont pour la plupart apportées par les glucides contenus dans la pomme : 12 g pour 100 g. Elle contient en revanche de très faibles quantités de lipides et de protéines, puisque 100 g de pomme n’apportent pas plus de 0,3 g de chaque.
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    Les pommes peuvent être conservées plusieurs jours dans une corbeille à fruits. Veillez toutefois à ne pas les laisser dans une pièce surchauffée. Vous pouvez également les conserver dans le bac à légumes de votre réfrigérateur, ce qui évitera qu’elles ne continuent à mûrir.


Pomme : à croquer sans modération


Les vertus de la pomme

Une base de données publique sur les médicaments

www.medicaments.gouv.fr sera accessible gratuitement à partir du mardi 1er octobre 2013. WBU / Science Photo Library Le gouvernement a annoncé la création d'une base de données publique sur le médicament, accessible gratuitement sur Internet.
 
 www.medicaments.gouv.fr sera accessible gratuitement à partir du mardi 1er octobre 2013. WBU / Science Photo Library
 
Le Journal officiel a publié dimanche 29 septembre un décret sur la base de données qui sera lancée mardi 1er octobre par la ministre de la santé, Marisol Touraine. Son adresse : www.medicaments.gouv.fr. Sous l'égide du ministère de la santé, elle sera mise en œuvre par l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), en partenariat avec la Haute Autorité de santé (HAS) et l’Union nationale des caisses d’assurance maladie (UNCAM).

Une information transparente sur chaque médicament

Le jour même, elle sera accessible librement et gratuitement. L'objectif de cette base de données administratives est de « servir de référence pour l’information des professionnels de santé, des usagers et des administrations compétentes en matière de produits de santé ». Elle devrait permettre à tous d’accéder aux données et documents de référence sur les médicaments en vente (ou ayant été commercialisés durant les deux dernières années en France). Pour chaque spécialité, de nombreuses informations seront disponibles dont le prix, la notice, les informations de sécurité sanitaire (effets indésirables, nécessité d'une surveillance spécifique) ou encore celles relatives au bon usage du médicament. Les données devraient être réactualisées régulièrement, en toute indépendance vis-à-vis des laboratoires pharmaceutiques.
 
http://sciencesetavenir.nouvelobs

lundi 23 septembre 2013

Comment fonctionne la médecine officielle ?

Comment fonctionne la médecine officielle ?

1) La médecine officielle est complètement dépendante de l'industrie pharmaceutique, donc il faut se poser la question du fonctionnement de big-pharma en premier.

2) Le seul but de big-pharma est de gagner de l'argent, beaucoup d'argent rapidement et à moindre frais. Il en découle plusieurs conséquence. En voici quelques unes :

- chercher les créneaux rentables. Et là c'est tout simple : viser les maladies chroniques, mais aussi les situations de la vie comme la ménopause où on propose une « solution » sous forme d'hormones. On connaît le résultats des milliers de cancers du sein chez les femmes à qui ont mensongèrement proposé ces produits. On a créé de toute pièce une maladie imaginaire « le cholestérol ». D'ou un créneau très très juteux pour l'industrie. Les anti-cholestérols sont sans doute intéressant pour des excès de cholestérol d'origine familiale qui sont très peu fréquents, mais les donner ces médicaments qui ne sont pas sans risque avec des études truquées c'est inadmissible. Pour les maladies dites orphelines (rares) pas de recherche pas de médicaments

- Big-pharma n'a donc strictement aucun intérêt à guérir les maladies : il en vit comme toute une partie du corps médical et des activités connexes. L'exemple du cancer est significatif. Des campagnes médiatiques nous annoncent depuis des décennies la victoire est proche encore un effort pour la recherche. Et en réalité, cette fameuse science progresse par sauts de puce. Grande nouvelle la survie sous tel traitement a permis de progresser d'un mois, parfois plus, pour des prix astronomiques - qui tombent souvent sur la patient et la famille -. C'est naturel et normal, chacun de nous est prêt à tout pour garder un être cher. A coté de cette pratique franchement odieuse, des moyens thérapeutiques qui ont fait leur preuve, CE QUI SERAIT TRES FACILE DE VERIFIER, sont criminalisés, pourchassés. Une véritable guerre contre ces chercheurs et ces praticiens est organisée. Comme le remarque la philosophe Isabelle Stengers: le charlatan (pour la médecine officielle) est celui qui guérit et veut le prouver (contre bien sur le circuit officiel de l'Evidence based medecine (voir plus loin).

- développer des médicaments très dangereux comme le Médiator en France et le vioxx aux USA : 30 000 décès au minimum (je dis bien trente milles).

- la nécessité de réduire au maximum le prix de production des médicaments. La solution la plus simple est de faire produire dans les pays Inde, Chine en particulier) ou la "main d'oeuvre" est très bon marchée, ce qui veut dire que les travailleurs sont très mal payés. D'où l'invention des médicaments génériques. Ce sont des médicaments qui ont la même formule chimique que le médicament de référence qui n'est plus protégé par un brevet, mais pas le même mode de fabrication (qui reste protégé). Il en résulte des différences très importantes. Autre conséquence la sécu oblige d'utiliser ce type de médicaments.

- comme toutes les industries, big-pharma est maintenant sur le marché mondial. Il en résulte qu'il y a concurrence au détriment de la qualité et surtout spéculation, comme sur les matières premières alimentaires. D'ou des ruptures de stock de certains médicaments qui vont désormais devenir fréquentes. Bref la mondialisation s'attaque aux pauvres en provoquant des famines et aux malades et les privant de certains mdicaments.

3) les profits de big-pharma permettent d'offrir des avantages aux médecins, spécialement aux leaders qui par leur notoriété influencent l'ensemble du corps médical. En général ces Professeurs, dirigent un secteur de recherche, appartiennent à une institution qui conseille le pouvoir politique (comme l'Académie de Médecine, ou les société savantes de tel ou tel domaine) et enfin sont conseillé de l'industrie pharmaceutique et grassement rémunérés. C'est ce qu'on appelle les 3 casquettes. J'imagine qu'aucun d'entre nous n'a entendu un épicier dire qu'il vend des produits avariés. Et bien ces Professeurs qui dans leur secteur ont mis un produit au point l'on fait commercialiser par big-pharma et vont ensuite conseiller aux institutions ad hoc de le faire admettre, ne savent que faire des louanges pour leur produit qui bien sur n'ont aucun défaut.

4) Durant la dernière guerre et sous l'impulsion de l'occupant a été créé l'Ordre des Médecins qui quoi qu'on en dise a été purement et simplement prorogé à la Libération. Sa fonction, s'assurer que les médecins restent dans les clous et qu'il ne vient pas l'idée d'aller voir ailleurs si des thérapeutiques ne sont pas mieux que celles de big-pharma. Bref une police des médecins. Pour en savoir plus regarder sur ce site la page : MON MEMOIRE PRESENTE DEVANT L'ORDRE REGIONAL DES MEDECINS

5) Dernière pièce importante de ce dispositif : la médecine fondée sur les preuves : l'Evidence based medecine (EBM pour les initiés). Elle nous vient tout droit des USA et a été popularisée par la fondation Rockfeller. Elle se fonde tout simplement sur ce qu'on appelle le double aveugle. Je ne rentre pas dans les détails, que je reprendrais un jour, mais c'est une escroquerie scientifique. Elle consiste à comparer l'effet d'un médicament à celui d'un placébo (un faux médicaments sans action en principe) ou d'un autre médicament. Ceci avec une méthodologie draconienne : ni le malade, ni l'expérimentateur ne savent ce que les personnes incluses dans l'essai utilisent. Ceci à partir de la sélection de cobayes ayant la même maladie et des caractéristiques biologiques proches. En général le résultat (quand c'est positif) est 80% d'effet positifs et 20% d'effets négatif (aggravation ...) et nuls. Je ne rentre pas dans le détail sauf pour dire que quand un médicaments a fait ses preuves il devient Le Médicament de telle maladie et a force de loi. Le médecin est obligé de le donner et est en faute s'il ne le donne pas. Si vous êtes dans les 20%, c'est comme au loto : vous avez perdu. La sanction peut être parfois très lourde: décès, infirmités etc. Mais vous n'avez rien à dire le médicament est « scientifique prouvé".

Je passe pour le moment sur les aspects stupides du procédé pour indiquer deux choses : d'autres méthodes scientifiques sont possibles, mais rejetées. Et la 2éme chose, c'est que ce procédé du double aveugle a l'énorme avantage de disqualifier systématiquement les médicaments et médecines venues d'ailleurs ou partant d'autres expériences et conceptions. Le ridicule ne tuant pas, des pratiques plus que millénaires comme l'acuponcture sont ainsi disqualifiée mais aussi la médecine indienne et bien d'autres médecines, l'homéopathie et la médecine des plantes en premier. Je rappelle que le diplôme d'herboriste a été supprimé par un décret du gouvernement collaborationniste de Vichy et n'a jamais été rétabli depuis.

6) Dernier point important : la médecine officielle big-pharma en tète n'a que faire de la prévention. La prévention est pour eux l'horreur. Ils assimilent hypocritement la prévention à la prise de médiccaments comme les anticholetérols, les hormones, ou l'administration de vaccins aux conséquences souvent désastreuses. La vraie prévention est ailleurs. Elle est fondée certes sur l'élimination des causes des maladies (pollutions de toutes sortes, malbouffe, stress, conditions de travail dans l'industrie en particulier etc) et sur la connaissnce des mécanismes pour pouvoir intervenir avec précision. C'est le cas de la prévention active des cancers proposée par le Docteur Gernez.

J'attends des exemples, des commentaires, votre avis. Je vais développer cette rubrique régulièrement. C'est de notre santé de notre vie, de celle de nos enfants, de nos proches qu'il est question : ça vaut qu'on en parle.

Pour terminer voici la préface à sa thèse de médecine consacrée à Philippe-Ignace Semmelweis par le Docteur Louis Ferdinand Destouches plus connu sous le nom de Céline (1936):
« Supposez qu'aujourd'hui, il survienne un autre innocent qui se mette à guérir le cancer.Il sait pas quel genre de musique on lui ferait tout de suite danser ! ça sera vraiment phénoménal ! Ah ! qu'il redouble de prudence ! Ah ! il vaut mieux qu'il soit prévenu.Qu'il se tienne vachement à carreau ! Ah ! il aurait bien plus d'afur à s'engager immédiatement dans une légion étrangère ! Rien n'est gratuit en ce bas monde. Tout s'expie, le bien comme le mal, se paie tôt ou tard. Le bien c'est beaucoup plus cher , forcément. »
Et enfin un témoignage reçu sur mon courriel :
« À Gustave Roussy, on vous donne l'impression d'être découpé en spécialités: on voit le chirurgien, puis le chimiothérapeute, puis on verra un radiothérapeute et le protocole est décidé sans vous, vous êtes mis devant le fait qu'il vous faudra chimio,radio et hormone. Comme le référent est le chimiothérapeute, on ne peut pas discuter avec lui de l'opportunité de ce traitement .... »
Ce n'est pas un secret : ça se passe de cette façon dans tous le Hôpitaux, cliniques et centre anti-cancers

Source: http://fr.sott.net/article/16992-Comment-fonctionne-la-medecine-officielle

mardi 20 août 2013

La vérité très indésirable sur la chimio

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Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres, ont osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies classiques.
Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire. « Les patients qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement[1]. » Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses engendrées par le « Cancer business ». Les conclusions déstabilisantes du Dr Jones n'ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol. 28, n°2, Mars-avril 1998.)


Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires [ce qu’il  appelait la « cancer-connection], et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988). À son tour, le Dr Martin Shapiro écrivait dans un article « Chimiothérapie : Huile de perlimpinpin ? », : « Certains cancérologues informent leurs patients du manque d’évidence que ce traitement soit utile, d’autres sont sans doute égarés par l’optimisme des parutions scientifiques sur la chimiothérapie. D’autres encore répondent à une stimulation économique. Les praticiens peuvent gagner davantage en pratiquant la chimiothérapie qu’en prodiguant consolation et apaisement aux patients mourants et à leurs familles. » (cf. Los Angeles Times, 1er septembre 1987).
Cet avis est largement partagé par les docteurs E. Pommateau et M. d’Argent qui estiment que la chimiothérapie « n’est qu’un procédé de destruction de cellules malignes comme la chirurgie ou la radiothérapie. Elle ne résout pas le problème capital des réactions de l’hôte qui devrait être, en dernier ressort, les seules à rechercher pour arrêter la poussée cancéreuse »  (Leçons de cancérologie pratique).
Pour sa part, le Pr Henri Joyeux, cancérologue à Montpellier, a déclaré à maintes reprises que « ce sont des intérêts financiers gigantesques qui permettent d'expliquer que la vérité scientifique soit encore aujourd'hui trop souvent occultée : 85 % des chimiothérapies sont contestables, voire inutiles ».
Pour eux, comme pour bien d’autres médecins, les seuls cas de guérison avec cette thérapeutique sont des cas qui peuvent guérir spontanément, c’est-à-dire dans lesquels l’hôte peut organiser ses propres défenses. Il est difficile d’être plus clair : la chimiothérapie ne sert à rien ! Et pour la progression des cas de guérisons, le Dr Jean-Claude Salomon, directeur de recherche au CNRS, cancérologue, estime que le pourcentage de survie à cinq ans après le diagnostic initial s’est accru pour la seule raison que l’on sait faire des diagnostics plus précoces, mais que s’il n’est pas accompagné d’une baisse de la mortalité, l’augmentation du pourcentage de survie à cinq ans n’est pas un indice de progrès. « Le diagnostic précoce n’a souvent pour effet que d’allonger la durée de la maladie avec son cortège d’angoisse. Cela contredit bien des affirmations concernant les prétendues avancées thérapeutiques. » (cf. Qui décide de notre santé. Le citoyen face aux experts, Bernard Cassou et Michel Schiff, 1998) Le Dr Salomon précise qu’on comptabilise sans distinction les vrais cancers et des tumeurs qui n’auraient sans doute jamais provoqué de maladie cancéreuse, ce qui contribue à augmenter artificiellement le pourcentage des cancers « guéris ». Cela augmente aussi, évidemment, celui des cancers « déclarés ». Encore un fait confirmé par le Dr Thomas Dao, qui fut directeur du département de chirurgie mammaire au Roswell Park Cancer Institute de Buffalo de 1957 à 1988 : « Malgré l'usage répandu de la chimiothérapie, le taux de mortalité par cancer du sein n'a pas changé ces 70 dernières années. » Ainsi que par John Cairns, Professeur de microbiologie à l’université d’Harvard, qui a publié en 1985, une critique dans le Scientific American : « À part quelques rares cancers, il est impossible de déceler une quelconque amélioration par la chimiothérapie dans la mortalité des cancers les plus importants. Il n’a jamais été établi que n’importe quel cancer peut être guéri par la chimiothérapie. » Nouvelle confirmation du Dr Albert Braverman, hématologue et cancérologue New Yorkais, dans le Lancet : « De nombreux cancérologues recommandent la chimiothérapie pour pratiquement toutes les tumeurs, avec un optimisme non découragé par un échec quasi immanquable […] aucun néoplasme disséminé, incurable en 1975, n’est guérissable aujourd’hui. » (cf. La Cancérologie dans les années 1990,  vol. 337, 1991, p.901). Quant au Dr Charles Moertal, cancérologue de la Mayo Clinic, il admet que : « Nos protocoles les plus efficaces sont pleins de risques et d’effets secondaires ; et après que tous les patients que nous avons traités aient payé ce prix, seule une petite fraction est récompensée par une période transitoire de régression incomplète de la tumeur. »

Alan Nixon, ancien Président de l’American Chemical Society, est encore plus radical : « En tant que chimiste, entraîné à interpréter des publications, il m’est difficile de comprendre comment les médecins peuvent ignorer l’évidence que la chimiothérapie fait beaucoup, beaucoup plus de mal que de bien. »

Ralph Moss est un scientifique non médecin qui étudie le cancer depuis des lustres. Il écrit des articles sur le sujet dans de prestigieux journaux, tels que leLancet, le Journal of the National Cancer Institute, le Journal of the American Medical Association, le New Scientist, et a publié un ouvrage The Cancer Industry[2] : « Finalement, il n’existe aucune preuve que la chimiothérapie prolonge la vie dans la majorité des cas, et c’est un grand mensonge d’affirmer qu’il existe une corrélation entre la diminution d’une tumeur et l’allongement de la vie du patient. » Il avoue qu’il croyait autrefois en la chimiothérapie, mais que l’expérience lui a démontré son erreur : « Le traitement conventionnel du cancer est tellement toxique et inhumain que je le crains davantage que mourir d’un cancer. Nous savons que cette thérapie ne marche pas — si elle marchait vous ne craindriez pas davantage le cancer qu’une pneumonie. […] Cependant, la plupart des traitements alternatifs, quelles que soient les preuves de leur efficacité, sont interdits, ce qui oblige les patients à se diriger vers l’échec car il n’ont pas d’alternative. Le Dr Maurice Fox, professeur émérite de biologie au MIT (Massachusetts Institute of Technology)[3] a constaté, comme nombre de ses pairs, que les cancéreux qui refusaient les soins médicaux avaient un taux de mortalité inférieur à ceux qui les acceptaient.

Le Centre du Cancer de l’université McGill au Canada a envoyé un questionnaire à 118 médecins spécialisés dans le cancer des poumons afin de déterminer le degré de confiance qu’ils accordaient aux produits que les scientifiques de l’université étaient en train d’évaluer. On leur demandait d’imaginer qu’ils avaient un cancer et de dire quel médicament ils choisiraient parmi six autres en cours d’essais. Il y eut 79 réponses des médecins, parmi lesquelles 64, soit 81 % n’accepteraient pas de participer aux essais de la chimiothérapie à base de Cisplatine qu’ils étaient en train de tester et 58 autres médecins parmi les mêmes 79, soit 73 %, estimaient que les essais en question étaient inacceptables, étant donne l’inefficacité des produits et leur degré élevé de toxicité[4].

De son côté, le Dr Ulrich Abel, épidémiologiste allemand du Centre du cancer de Heidelberg-Mannheim, a passé en revue tous les documents publiés sur la chimiothérapie par plus de 350 centres médicaux à travers le monde. Après avoir analysé, pendant plusieurs années, des milliers de publications, il a découvert que le taux global de réussite de la chimiothérapie à travers le monde était « lamentable », seulement 3 %, et qu'il n’existe tout simplement aucune preuve scientifique indiquant que la chimiothérapie pouvait « prolonger de façon sensible la vie de patients souffrant des cancers organiques les plus courants ». Il qualifie la chimiothérapie de « terrain vague scientifique » et affirme qu'au moins 80 % de la chimiothérapie administrée à travers le monde est inutile et s'apparente aux « habits neufs de l'empereur », alors que ni le docteur ni le patient ne souhaitent renoncer à la chimiothérapie. Le Dr Abel a conclu : « Nombre de cancérologues tiennent pour acquis que la chimiothérapie prolonge la vie des patients. C'est une opinion fondée sur une illusion qui n'est étayée par aucune des études cliniques[5] ». Cette étude n’a jamais été commentée par les grands médias et a été entièrement enterrée. On comprend pourquoi.

En résumé, la chimiothérapie est elle est très toxique et ne peut faire la différence entre les cellules saines et les cellules cancéreuses. Elle détruit peu à peu le système immunitaire qui ne peut plus protéger le corps humain des maladies ordinaires. Quelque 67 % des gens qui meurent pendant le traitement de leur cancer le doivent à des infections opportunistes qui n’ont pas été combattues par le système immunitaire.
L’étude la plus récente et significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[6] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[7] de l’Université de New South Wales-St. Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.
Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit  2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis.


« Certains praticiens restent pourtant optimistes et espèrent que la chimiothérapie cytotoxique[8] prolongera la vie des cancéreux », ont déclaré les auteurs dans leur introduction. Ils demandent à juste raison, comment il se fait qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années, continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai qu’on peut leur répondre que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre.
Massoud Mirshahi, chercheur à l’université Pierre et Marie Curie et son équipe ont découvert en 2009 que de nouvelles cellules du micro-environnement tumoral seraient impliquées dans la résistance à la chimiothérapie des cellules cancéreuses et les récidives avec l’apparition de métastases. Ces cellules ont été appelées « Hospicells », car elles servent de niches qui ont la propriété de fixer un grand nombre de cellules cancéreuses et de les protéger de l’action de la chimiothérapie.
Les « Hospicells » proviennent de la différenciation des cellules souches de moelle osseuse, et sont présentes dans les épanchements chez les malades atteints de cancers (liquide d’ascite, épanchements pleuraux). Les cellules cancéreuses, agglutinées autour d’une « Hospicell », forment de véritables petits nodules cancéreux.
Dans ces nodules ont été également identifiées des cellules immuno-inflammatoire.
 La microscopie électronique a démontré qu’il y avait des zones de fusion entre les membranes des « Hospicells » et celles des cellules cancéreuses, permettant le passage de matériel d’une cellule à l’autre. De plus, les chercheurs ont observé le transfert de matériel membranaire de l’« Hospicell » vers les cellules cancéreuses, phénomène appelé trogocytose. Plusieurs autres mécanismes, comme le recrutement des cellules immunitaires suppressives ou la sécrétion de facteurs solubles par les « Hospicells » aident aussi à la résistance des cellules cancéreuse contre la chimiothérapie.
Compte-tenu de cette importance, il est suggéré que les cellules cancéreuses « nichées » sur une « Hospicell » pourraient être considérées comme responsables de la maladie résiduelle. Pour la recherche, il importe donc de trouver des drogues susceptibles à la fois de détruire les cellules cancéreuses et les « Hospicells »[9].

L’étude la plus significative a été publiée par le journal Clinical Oncology[10] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[11] de l’Université de New South Wales-St. Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.

D’autres études ont paru dernièrement : La première, publiée dans la revue Nature, indique qu'une grande majorité des études sur le cancer sont inexactes et potentiellement frauduleuses. Les chercheurs n'arrivent que rarement à répliquer les résultats des grandes études « de référence ». Parmi 53 études importantes sur le cancer, pourtant publiées dans des revues scientifiques de haut niveau, 47 n'ont jamais pu être reproduites avec des résultats semblables. Ce n'est pas une nouveauté d'ailleurs, puisque, en 2009, des chercheurs de l’University of Michigan's Comprehensive Cancer Center avaient également publié des conclusions de célèbres études sur le cancer, toutes biaisées en faveur de l'industrie pharmaceutique. Et il reste de notoriété publique que certains médicaments contre le cancer provoquent des métastases.

Cette longue liste de publications, toutes négatives et non exhaustives quant aux « bienfaits » de la chimiothérapie, pourraient s’expliquer par les travaux de certains chercheurs de la Harvard Medical School à Boston (USA), qui ont constaté que deux médicaments utilisés en chimiothérapie provoquent le développement de nouvelles tumeurs, et non pas le contraire ! Il s'agit de ces nouveaux médicaments qui bloquent les vaisseaux sanguins qui « nourrissent » la tumeur. Les spécialistes les appellent traitements « anti-angiogénèse ». Ces médicaments, le Glivec et le Sutent (principes actifs, imatinib et sunitinib), ont un effet démontré pour réduire la taille de la tumeur. Cependant, ils détruisent de petites cellules peu étudiées jusqu'à présent, les péricytes, qui maintiennent sous contrôle la croissance de la tumeur. Libérée des péricytes, la tumeur a beaucoup plus de facilité à s'étendre et à « métastaser » dans d'autres organes. Les chercheurs de Harvard considèrent donc maintenant que, bien que la tumeur principale diminue de volume grâce à ces médicaments, le cancer devient aussi beaucoup plus dangereux pour les patients ! (Cancer Cell, 10 juin 2012). Le Professeur Raghu Kalluri, qui a publié ces résultats dans la revue Cancer Cell, a déclaré : « Si vous ne prenez en compte que la croissance de la tumeur, les résultats étaient bon. Mais si vous prenez du recul et regardez l'ensemble, inhiber les vaisseaux sanguins de la tumeur ne permet pas de contenir la progression du cancer. En fait, le cancer s'étend. »
 Une étude encore plus surprenante mais moins récente a été publiée par le journal Clinical Oncology[12] et menée par trois fameux oncologues australiens, le Pr Graeme Morgan du Royal North Shore Hospital de Sydney, le Pr Robyn Ward[13] de l’Université de New South Wales-St. Vincent's Hospital et le Dr Michael Barton, membre de la Collaboration for Cancer Outcomes Research and Evaluation du Liverpool Health Service à Sydney.
Leur travail minutieux est basé sur l’analyse des résultats de toutes les études contrôlées en double aveugle menées en Australie et aux États-Unis, concernant la survie de 5 ans mise au crédit de la chimiothérapie chez les adultes durant la période de janvier 1990 à janvier 2004, soit un total de 72 964 patients en Australie et de 154 971 aux États-Unis, tous traités par chimiothérapie. Cette vaste étude démontre qu’on ne peut plus prétendre, comme de coutume, qu’il ne s’agit que de quelques patients, ce qui permet aux systèmes en place de les balayer avec mépris du revers de la main. Les auteurs ont délibérément opté pour une estimation optimiste des bénéfices, mais malgré cette précaution, leur publication prouve que la chimiothérapie ne contribue qu’à un peu plus de 2 % à la survie des patients après 5 ans, soit  2,3 % en Australie, et 2,1 % aux États-Unis.

Enfin, une étude publiée dans la revue Nature Medicine en 2012, pourrait changer l'idée que l'on se fait de la chimiothérapie. Les chercheurs du Fred Hutchinson Cancer Research Center de Seattle auraient en effet découvert que celle-ci déclencherait chez des cellules saines la production d'une protéine alimentant les tumeurs.

Alors que des chercheurs travaillaient sur la résistance à la chimiothérapie dans des cas de cancers métastasés du sein, de la prostate, du poumon et du colon, ils ont découvert par hasard que la chimiothérapie, non seulement ne guérit pas le cancer, mais active plutôt la croissance et l’étendue des cellules cancéreuses. La chimiothérapie, méthode standard de traitement du cancer aujourd’hui, oblige les cellules saines à libérer une protéine qui en réalité alimente les cellules cancéreuses et les fait prospérer et proliférer.

Selon l’étude, la chimiothérapie induit la libération dans les cellules saines d’une protéine, WNT16B, qui aide à promouvoir la survie et la croissance des cellules cancéreuses. La chimiothérapie endommage aussi définitivement l’ADN des cellules saines, préjudice à long terme qui persiste longtemps après la fin du traitement par chimio.

 « Quand la protéine WNT16B est sécrétée, elle interagirait avec les cellules cancéreuses proches et les ferait grossir, se répandre et le plus important, résister à une thérapie ultérieure, » a expliqué le co-auteur de l’étude Peter Nelson du Centre de Recherche Fred Hutchinson sur le cancer à Seattle, concernant cette découverte totalement inattendue. « Nos résultats indiquent que dans les cellules bénignes les réponses en retour peuvent contribuer directement à une dynamique de grossissement de la tumeur, » a ajouté l’équipe au complet selon ce qu’elle a observé.


Ce qui revient à dire : Éviter la chimiothérapie augmente les chances de recouvrer la santé.
Comment se fait-il qu’une thérapie qui a si peu contribué à la survie des patients au cours des 20 dernières années continue à obtenir un tel succès dans les statistiques des ventes. Il est vrai que les patients peu curieux ou simplement affolés n’ont aucun choix : on ne leur propose rien d’autre que « le protocole ». À quelle pression le cancérologue actuel est-il soumis pour choisir le traitement du patient ? Jadis, le bon médecin choisissait en son âme et conscience, selon le serment d’Hippocrate, le meilleur traitement pour son patient. Il engageait ainsi sa responsabilité personnelle après un entretien prolongé avec son malade.
« Depuis les années 1990 — et singulièrement de façon de plus en plus autoritaire depuis le plan cancer de 2004 — la liberté de soigner du cancérologue a disparu en France et dans certains pays occidentaux. Au prétexte fallacieux de la qualité des soins, tous les dossiers de patients sont “discutés” en réunion multidisciplinaire où, de fait, l’essai thérapeutique en cours testant les drogues nouvelles est imposé par la “communauté”. Le praticien qui souhaite déroger à ce système doit s’expliquer et encourt tous les ennuis possibles, en particulier celui de voir le service auquel il participe perdre son autorisation de pratiquer la cancérologie. » Le Dr Nicole Delépine résume ainsi ce qui peut arriver quand on s’éloigne des stricts protocoles pour les adapter à la situation personnelle des malades.
Seuls, 3 médecins sur 4 osent refuser la chimio pour eux-mêmes, en cas de cancer, en raison de son inefficacité sur la maladie et de ses effets dévastateurs sur la totalité de l'organisme humain. Mais ce détail est bien caché aux malades.

 Le Docteur Jacques Lacaze, diplômé de cancérologie et ardent défenseur des travaux du Dr Gernez sur le sujet, estime que la seule vraie solution est la prévention. « En effet, un cancer a une vie cachée de 8 ans en moyenne. Durant cette longue période, l'embryon de cancer est très vulnérable, un rien peut le faire capoter. TOUS les spécialistes admettent cette réalité, mais très peu d'entre eux préconisent une politique de prévention. Pourtant, elle est facile à mettre en œuvre. Nous savons que la courbe d'incidence du cancer démarre vers 40 ans, donc qu'un futur cancer s'installe vers 32 ans. L'étude SUVIMAX a montré qu'une simple complémentation en vitamines et sels minéraux suffisait à faire baisser cette incidence de cancers d'environ 30 %. Cette étude a duré 8 ans. Aucune conséquence en politique de santé publique n'en a été tirée. Bien entendu, l'industrie pharmaceutique ne veut pas en entendre parler : on ne scie pas la branche sur laquelle on est assis. Le corps médical est sous la coupe des “grands patrons” qui font la pluie et le beau temps et qui sont grassement rémunérés par cette industrie (cherchez sur internet, vous verrez que la plupart de ces grands patrons émargent d'une façon ou d'une autre à un laboratoire). Et la majorité des médecins de base suivent sans broncher ! Et malheur à ceux qui pensent le contraire et qui contestent chimiothérapie ou vaccins ou antibiothérapie. […] Je dois ajouter, car cela correspond à ma pratique et à des études réelles faites par quelques services spécialisés, de nombreux produits qualifiés de complémentaires ou alternatifs sont efficaces, mais interdits et pourchassés par les autorités aux ordres de l'industrie pharmaceutique. »


Pour en savoir plus, sur la prévention des cancers, vous pouvez consulter le site gernez.asso.fr


Il ne faut pas oublier dans cette affaire que seule la pression des personnes concernées, c'est à dire nous tous, fera plier ce système.


      

[1] Transactions of the N.Y. Academy of Medical Sciences, vol 6, 1956.



[2] Equinox Press, 1996.



[3] Membre de la National Academy of Sciences, de l’Institute of Medicine et de l’American Academy of Arts and Sciences.



[4] Cité par le Dr Allen Levin, dans son ouvrage The Healing of Cancer.



[5] Abel U. « Chemotherapy of advanced epithelial cancer, a critical review ». Biomed Pharmacother. 1992 ; 46(10) : (439-52).



[6] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.



[7] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.



[8] Propriété qu'a un agent chimique ou biologique d'altérer et éventuellement détruire des cellules.



[9] Oncologic trogocytosis of an original stromal cells induces chemoresistance of ovarian tumours. Rafii A, Mirshahi P, Poupot M, Faussat AM, Simon A, Ducros E, Mery E, Couderc B, Lis R, Capdet J, Bergalet J, Querleu D, Dagonnet F, Fournié JJ, Marie JP, Pujade-Lauraine E, Favre G, Soria J, Mirshahi M.



[10] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.



[11] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.



[12] « The Contribution of Cytotoxic Chemotherapy to 5-year Survival in Adult Malignancies », Clin Oncol (R Coll Radiol). 2005 Jun ; 17(4) : 294.



[13] Le Pr Ward fait également partie du département du ministère de la Santé qui conseille le gouvernement australien sur l’effet des médicaments autorisés, semblable à la Food and Drug Administration américaine.

mardi 18 juin 2013

Le citron (citrus) est un produit miraculeux pour tuer les cellules cancéreuses


Bienfaits du citron.
citronLe citron (citrus) est un produit miraculeux pour tuer les cellules cancéreuses. Il est 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie.
Pourquoi ne sommes-nous pas au courant de cela?
Parce qu'il existe des laboratoires intéressés par la fabrication d'une version synthétique qui leur rapportera d'énormes bénéfices.
Vous pouvez désormais aider un ami qui en a besoin en lui faisant savoir que le jus de citron lui est bénéfique pour prévenir la maladie. Son goût est agréable et il ne produit pas les horribles effets de la chimiothérapie.
Si vous en avez la possibilité, plantez un citronnier dans votre patio ou votre jardin.
Combien de personnes meurent pendant que ce secret est jalousement gardé pour ne pas porter atteinte aux bénéfices multimillionnaires de grandes corporations ?
Comme vous le savez, le citronnier est bas, n'occupe pas beaucoup d'espace et est connu pour ses variétés de citrons et de limes. Vous pouvez consommer le fruit de manières différentes: vous pouvez manger la pulpe, la presser en jus, élaborer des boissons, sorbets, pâtisseries, ...
On lui attribue plusieurs vertus mais la plus intéressante est l'effet qu'elle produit sur les kystes et les tumeurs.
Cette plante est un remède prouvé contre les cancers de tous types. Certains affirment qu'elle est de grande utilité dans toutes les variantes de cancer. On la considère aussi comme un agent anti microbien à large spectre contre les infections bactériennes et les champignons, efficace contre les parasites internes et les vers, elle régule la tension artérielle trop haute et est antidépressive, combat la tension et les désordres nerveux.
La source de cette information est fascinante: elle provient d'un des plus grands fabricants de médicaments au monde, qui affirme qu'après plus de 20 essais effectués en laboratoire depuis 1970, les extraits ont révélé que: Il détruit les cellules malignes dans 12 types de cancer, y compris celui du côlon, du sein, de la prostate, du poumon et du pancréas...
Les composés de cet arbre ont démontré agir 10.000 fois mieux que le produit Adriamycin, une drogue chimiothérapeutte normalement utilisée dans le monde, en ralentissant la croissance des cellules du cancer. Et ce qui est encore plus étonnant: ce type de thérapie avec l'extrait de citron détruit non seulement les cellules malignes du cancer et n'affecte pas les cellules saines.
Institut de Sciences de la Santé, L.L.C. 819 N. Street, Baltimore, MD 1201
ENVOYER A TOUT LE MONDE... ! ! ! ! !


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ANNEXE
de Viny Eden
Ceci est la dernière nouveauté en médecine, effective pour contrer le cancer!!!
Bienfaits du citron.
Le citron (citrus) est un produit miraculeux pour tuer les cellules cancereuses.

Il est 10.000 fois plus puissant que la chimiothérapie.

Pourquoi ne sommes-nous pas au courant de cela?
Parce qu'il existe des laboratoires intéressés par la fabrication d'une version synthétique qui leur rapportera d'énormes bénéfices.
Si vous en avez la possibilité, plantez un citronnier dans votre patio ou votre jardin.

Combien de personnes meurent pendant que ce secret est jalousement gardé pour ne pas porter atteinte aux bénéfices multimilionnaires de grandes corporations? Comme vous le savez, le citronnier est bas, n'occupe pas beaucoup d'espace et est connu pour ses variétés de citrons et de limes.
Effectivement, de nombreuses études indiquent que la consommation d'agrumes, dont le citron et la lime, exerce un effet favorable contre le cancer. .
Cancer (prévention). Plusieurs études ont démontré que la consommation d’agrumes serait reliée à la prévention de certains types de cancers3,4,18,33, comme le cancer de l’oesophage, le cancer de l’estomac, le cancer du côlon, de la bouche et du pharynx. Selon l’une de ces étudess33, une consommation modérée d’agrumes (soit de 1 à 4 portions par semaine) permettrait de réduire les risques de cancers touchant le tube digestif et la partie supérieure du système respiratoire. En ce qui concerne le cancer du pancréas, les études demeurent controversées
Cancer (ralentir la progression). Les flavonoïdes, des composés antioxydants contenus dans les agrumes, ont démontré qu’ils pouvaient ralentir la prolifération de plusieurs lignées de cellules cancéreuses9,16,35 et diminuer la croissance des métastases34. Ces propriétés pourraient servir à l’élaboration de thérapies antitumorales

D’autres composés contenus dans les agrumes (les limonoïdes) ont également démontré des effets anticancer in vitro ou sur des modèles animaux. Ils pourraient diminuer la prolifération de cellules cancéreuses12,13 du sein15, de l’estomac13, du poumon13, de la bouche12,17 et du côlon
Maladies cardiovasculaires. Plusieurs études épidémiologiques ont démontré qu’un apport régulier en flavonoïdes provenant d’agrumes est associé à une diminution du risque de maladies cardiovasculaires37. Les flavonoïdes contribueraient à améliorer la vasodilatation coronarienne, à diminuer l’agrégation des plaquettes sanguines et à prévenir l’oxydation du « mauvais » cholestérol (LDL).

  • Inflammation. Plusieurs études ont démontré que les flavonoïdes des agrumes avaient des propriétés anti-inflammatoires. Ils inhiberaient la synthèse et l’activité de médiateurs impliqués dans l’inflammation (dérivés de l’acide arachidonique, prostaglandines E2, F2 et thromboxanes A2)37.
  • Hypercholestérolémie. Les flavonoïdes et les limonoïdes des agrumes et de leurs jus pourraient avoir un potentiel de réduction de l’hypercholestérolémie. Des études réalisées chez l’animal ont démontré que certains d’entre eux abaissaient le cholestérol sanguin10,11,19. Cependant, ces études n’ont pas été effectuées à partir de composés extraits directement du citron ou de la lime.

Autres. Parmi d’autres effets observés, deux limonoïdes présents dans les agrumes (la limonine et la nomiline) inhiberaient la réplication du virus de l'immunodéficience humaine (VIH), en plus d’inhiber l’activité de la protéase du virus20. De plus, certains limonoïdes du citron démontrent une activité contre certains champignons pathogènes21. D’autres limonoïdes22 et certaines protéines26 amélioreraient le système immunitaire chez l’animal. Ces résultats sont prometteurs, mais n’ont pas fait l’objet d’études cliniques contrôlées. Il est donc impossible pour l’instant de transposer ces effets chez l’humain.

Plusieurs études prospectives et épidémiologiques ont révélé qu’une consommation élevée de fruits et de légumes diminuait le risque de maladies cardiovasculaires28, de certains cancers29 et d’autres maladies chroniques1,2,30.

Que contiennent le citron et la lime?

Le pouvoir antioxydant du citron et de la lime est considéré comme faible, car il est calculé en fonction d’une portion normale, qui est relativement petite. Néanmoins, le citron et la lime renferment divers composants qui peuvent avoir un effet favorable sur la santé et sur la prévention de plusieurs maladies.
Flavonoïdes
Le citron et la lime renferment différents types de flavonoïdes. Ces composés antioxydants permettent, entre autres, de neutraliser les radicaux libres du corps et, ainsi, prévenir l’apparition des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et d’autres maladies chroniques. Les principaux flavonoïdes contenus dans le citron et la lime sont l’ériocitrine et l’hespérétine. Des expériences menées sur des animaux ont démontré que l’ériocitrine et l’hespérétine, extraits de l’écorce (peau) du citron ou de son jus, pouvaient diminuer ou prévenir l’augmentation des dommages reliés au stress oxydatif5,6. De plus, l’ériocitrine pourrait induire l’apoptose de cellules leucémiques. La partie blanche de l’écorce du citron est celle qui contient le plus de ces 2 flavonoïdes.
La nobiletine, un autre type de flavonoïde contenu dans les agrumes, aurait des propriétés antiangiogéniques. Elle contribuerait à ralentir la croissance des tumeurs et des métastases34. Enfin, selon une étude menée sur des cellules du pancréas, la capacité à inhiber la prolifération de cellules cancéreuses de la lime serait proportionnelle à son contenu en flavonoïdes ainsi qu’en limonoïdes36.
Limonoïdes
Les principaux limonoïdes que renferment les agrumes sont la limonine et la nomiline. On les retrouve principalement dans les pépins12, mais aussi dans le jus13. Les limonoïdes possèdent une certaine capacité antioxydante14. Ils pourraient aussi entraîner l’apoptose de cellules neuroblastiques cancéreuses (cellules nerveuses embryonnaires, se différenciant ensuite en neurones)16. Des études laissent présager qu’ils pourraient prévenir certains types de cancers chez l’animal. Par exemple, l’obacunone, un type de limonoïde, s’est avéré efficace pour diminuer l’incidence de tumeurs du côlon18 et pour diminuer le nombre de tumeurs de la bouche12.Mais il n’existe pour le moment aucune donnée quant à un effet similaire chez l’humain. L’action synergique de plusieurs limonoïdes entre eux, ou avec d’autres composés (comme les flavonoïdes), pourrait accentuer leur action sur les cellules cancéreuses.

Fibres solubles
Les agrumes sont riches en fibres solubles, principalement en pectine, que l’on retrouve dans l’écorce et dans la membrane blanche autour de la chair (albédo). Par leur aptitude à diminuer le cholestérol sanguin, les fibres solubles contribuent à réduire l’incidence des maladies cardiovasculaires23. Des chercheurs ont démontré que l’écorce de citron était efficace pour diminuer les taux de cholestérol sanguin et hépatique chez l’animal24. Cependant, en plus de la pectine, d’autres composés présents dans l’écorce du citron pourraient participer à ce processus.
De plus, la pectine du citron, comparée à celle de 3 autres agrumes (pamplemousse, tangerine et orange), présente la meilleure capacité à inhiber la croissance de certaines tumeurs cancéreuses in vitro25. Par contre, ces données nécessitent davantage d’analyse avant de conclure à des effets bénéfiques de la pectine de citron ou de lime sur le cancer chez l’humain.
Protéines
Une équipe de chercheurs a découvert qu’un extrait de jus de lime pourrait améliorer la réponse immunitaire chez l’animal26. Cet effet serait attribuable à un ensemble de protéines présentes dans l’extrait de jus de lime. Ces mêmes composantes protéiques pourraient participer à l’arrêt de la prolifération de cellules cancéreuses observé in vitro27

Prudence..... Le citron, la lime, ainsi que leurs jus, devraient également être évités par les personnes souffrant de reflux gastro-oesophagien, d'oesophagite peptique et de hernie hiatale (en phase aiguë de ces maladies) ou du moins en prendre progressivement.... car notre organisme doit se réhabituer à des aliments aussi magnifiques que nous avons remplacés hélas par des aliments cuits et oxydés par la cuisson.
Source: Institut de Sciences de la Santé, L.L.C. 819 N. Causez Street, Baltimore, MD 1201

dimanche 26 mai 2013

Le Meilleur médicament c'est vous...

Comment abandonner progressivement les méthodes chimiques pour se soigner et vivre plus sainement ? C'est le sujet de nouveau livre du docteur Frédéric Saldmann édité chez Albin Michel qui propose une méthode simple et limpide pour être en meilleure santé et guérir par soi-même.


sources :
http://www.francetv.fr/culturebox/interview-le-meilleur-medicament-cest-vous-selon-le-docteur-saldmann-136733

Acheter le livre:  http://livre.fnac.com/a5630733/Frederic-Saldmann-Le-meilleur-medicament-c-est-vous

mardi 21 mai 2013

21 caractéristiques d’une âme qui s’éveille



110106035200516707427052Peut-être est-ce à cause du changement de conscience global, une destiné à laquelle nous sommes arrivés à cause d’une évolution spirituelle, ou le résultat de temps étranges, mais de nombreuses personnes, partout dans le monde, traversent d’intenses changements personnels et ressentent une expansion de conscience. Des changements personnels de cette magnitude peuvent être difficiles à reconnaître et à comprendre, mais voici 21 caractéristiques d’une âme qui s’éveille, d’une personne « sensitive » ou d’une personne « empathique » (quelqu’un qui ressent les émotions des autres).
 
  
1. Le fait d’être dans des endroits publics peut quelquefois être accablant. Puisque les murs entre nous et les autres se dissolvent, nous n’avons pas tout à fait appris comment distinguer l’énergie des autres et la nôtre. Si l’humeur générale de la foule est semblable à celle d’un troupeau ou est négative, nous le ressentons intensément et nous voulons nous retirer dans notre propre espace privé. Lorsque nous avons rechargé nos piles, avec la méditation, en passant du temps dans la nature, loin des autres personnes, ou lorsque nous nous assoyons simplement en contemplation tranquille, nous sommes prêts alors à retourner dans la foule. Dans les relations personnelles, nous ressentons souvent les émotions de l’autre comme si elles étaient nôtres. Il est important d’avoir un sens élevé d’empathie, mais nous devons apprendre à permettre à l’autre d’avoir des émotions, tout en les observant et en gardant notre empathie mais, il faut réaliser que ce ne sont pas toutes les émotions qui nous appartiennent. L’influence sociale peut affaiblir notre propre sagesse innée.
 
2. Nous « savons » des choses, sans les comprendre intellectuellement. Cela est souvent appelé conscience intuitive, nous avons des moments de perspicacité qui peuvent expliquer les plus complexes des théories ou des phénomènes dans le monde. Quelques-uns des esprits les plus brillants de notre temps … « savent » … tout simplement. Les adeptes et les sages ont souvent reçu de l’information, venant des états élevés de conscience, après avoir médité ou simplement en étant en présence d’un individu plus conscient ; cela arrive à beaucoup plus de gens et de plus en plus fréquemment. Au fur et à mesure que nous faisons confiance à notre intuition, cela devient de plus en plus fort. C’est le temps de « penser » avec notre cœur, plus qu’avec notre tête. Notre intuition ne peut plus être ignorée. Nos rêves deviennent prémonitoires et éventuellement nos pensées conscientes le deviendront elles aussi.
 
3. Le fait de regarder la télévision ou la plupart des médias de masse, incluant les journaux et de nombreux films Hollywood, tout cela devient très désagréable pour nous. La mentalité qui crée une grande partie des émissions de télévision et de films au cinéma, devient odieuse pour nous. Cela transforme les gens et fait la promotion de la violence. Cela réduit notre intelligence et engourdit notre réponse empathique naturelle envers quelqu’un qui souffre.
 
>4. Nous mentir devient pratiquement impossible. Nous ne savons pas exactement quelle vérité nous est cachée, mais nous pouvons dire (grâce à notre intuition qui se développe et nos talents de perceptions extrasensorielles) que quelque chose cloche. Nous savons aussi quelles autres émotions, sentiments de peur, d’amour ne sont pas exprimées par les autres. Les autres sont comme un livre ouvert pour nous. Malgré le fait que nous n’avons pas d’entraînement, nous sommes observateurs et nous savons. Même s’il n’y a aucun indice physique, nous pouvons regarder les autres dans les yeux et savoir ce qu’ils ressentent.
 
5. Nous pouvons « attraper » les symptômes de rhume des autres, tout comme certains hommes ont des nausées matinales, lorsque leur femme est enceinte. La souffrance sympathique, qu’elle soit émotionnelle ou physique, est quelque chose que nous expérimentons souvent. Nous avons tendance à absorber l’émotion à travers le plexus solaire, considéré comme l’endroit où nous emmagasinons l’émotion et lorsque nous sommes en période d’apprentissage pour renforcer ce chakra, il se peut que nous connaissions des problèmes digestifs. Le fait de s’ancrer à la Terre peut aider à rétablir notre centre émotionnel. Une bonne façon de s’ancrer à la Terre est de marcher pieds nus.
 
6. Nous avons tendance à prendre parti pour les perdants, pour ceux dont la voix n’est pas entendue, pour ceux qui ont été abattus par la matrice etc. Nous sommes des  personnes pleines de compassion et les individus marginaux ont souvent besoin de plus d’amour. Les gens peuvent ressentir nos coeurs aimants, donc il arrive souvent que de parfaits étrangers nous racontent leur vie ou nous soumettent leurs problèmes. Il est bien évident que nous ne voulons pas devenir une décharge publique pour les problèmes de tout le monde, mais nous sommes des personnes qui avons une bonne écoute pour les gens ayant des problèmes.
 
7. Si nous n’apprenons pas à établir nos propres limites, nous pouvons nous fatiguer facilement de porter les émotions des autres. Les vampires d’énergie sont attirés par nous, alors nous devons être très vigilants, en nous protégeant de temps en temps.
 
8. Malheureusement, de nombreuses personnes sensitives ou empathiques se tournent vers l’abus de drogue ou d’alcool, afin de bloquer un peu leurs émotions et de se «protéger » pour ne pas ressentir la souffrance des autres.
 
9. Nous devenons tous des guérisseurs. Nous sommes attirés vers les modes de guérison tels que l’acupuncture, le Reiki, le Qi-Gong, le yoga, les massages ou le travail des sages-femmes etc. Nous connaissons le besoin collectif d’être guéri, alors nous faisons de notre mieux pour offrir la guérison, de la meilleure façon que nous pouvons. Nous nous éloignons aussi des formes « traditionnelles » de guérison pour nous-mêmes. Nous préférons les aliments naturels, les herbes et la médecine holistique pour nous guérir de tout malaise.
 
10. Nous voyons les potentiels, avant que les autres les voient. Tout comme l’Église a dit à Copernic qu’il avait tort, mais qu’il a maintenu sa théorie héliocentrique, nous savons ce que les masses refusent de croire. Nos esprits sont des années-lumière en avance.
 
11. Nous sommes créatifs. Nous chantons, nous dansons, nous peignons, nous inventons ou nous écrivons. Nous avons une imagination étonnante.
 
12. Nous avons besoin de beaucoup plus de solitude que la moyenne des gens.
 
13. Nous pouvons nous ennuyer facilement, mais nous sommes parfaitement capables de nous amuser nous-mêmes.
 
14. Nous avons de la difficulté à faire les choses que nous ne voulons pas faire ou que nous n’aimons pas faire. Nous croyons vraiment que la vie doit être une expression de joie. Pourquoi gaspiller du temps à faire quelque chose que vous détestez ? Nous ne sommes pas paresseux, nous sommes perspicaces.
 
15. Nous avons l’obsession de mettre la vérité en lumière. Tout comme les enfants qui disent, « ce n’est pas juste » nous voulons corriger les injustices du monde et nous croyons que, très souvent, cela ne nécessite que de l’éducation. Nous tâchons d’expliquer l’inexplicable et nous trouvons des réponses aux questions profondes de la vie. Nous sommes des chercheurs dans le paradigme « Campbellien » : «  The Hero With a Thousand Faces ».
16. Nous avons de la difficulté avec le temps. Notre imagination prend souvent le dessus et une journée peut être ressentie comme une minute, une semaine ou … une journée.
 
17. Nous détestons la routine.
 
18. Nous sommes souvent en désaccord avec l’autorité (pour des raisons évidentes).
 
19. Nous sommes souvent gentils, mais si les gens sont égoïstes ou impolis, nous ne passons pas de temps avec eux ou nous trouvons une excuse pour ne pas être en compagnie de gens qui sont obsédés par eux-mêmes. Nous ne comprenons pas les gens qui sont insensibles aux sentiments des autres ou au point de vue des autres.
20. Il se peut que nous soyons végétariens, parce que nous ressentons une certaine énergie dans les aliments que nous mangeons, nous ressentons aussi si un animal a été tué de façon inhumaine. Nous ne voulons pas consommer d’énergie négative.
 
21. Nous affichons nos émotions et nous avons de la difficulté à « prétendre » être heureux, si nous ne le sommes pas. Nous évitons la confrontation, mais nous changeons doucement le monde, sans que les autres s’en aperçoivent.
Ces 21 caractéristiques démontrent à quel point il est important de maintenir notre conscience, notre clarté et notre force présentement.
 
Au sujet de l’auteur
Christina Sarich et une musicienne, un yogi, humanitaire et écrivaine qui canalise de nombreuses heures d’études de Lao-Tseu, de Paramahansa Yognanda, Rob Brezny, Miles Davis et Tom Robbins en informations intéressantes, afin de vous aider à Éveiller Vos Têtes Endormies et à voir la Grande Perspective. Son blog est : http://yogaforthenewworld.com/ et son tout récent livre est «  Pharma Sutra » : Guérison du corps et de l’esprit par l’art du yoga.
© 2006-2013 – Terre Nouvelle : www.terrenouvelle.ca/Messages

dimanche 12 mai 2013

Relaxation : les bienfaits du yoga, de la méditation et des activités anti-stress sur nos gènes


r_RELAXATION_large570.jpgRéussir à maîtriser naturellement le stress, le diabète et même le vieillissement, ça vous tente? Si c'est le cas, ne perdez pas un instant et essayez-vous à la relaxation. On savait déjà que le yoga était capable de modifier l'expression des gènes impliqués dans le fonctionnement immunitaire mais selon une nouvelle étude, la relaxation, de manière générale, peut avoir un effet similaire. 

Pour être totale, la relaxation doit vous amener à un état physiologique de repos profond qui modifie la réponse physique et émotionnelle face au stress. Les effets de cet état permettent alors au corps de réagir à l'opposé de sa réponse habituelle de lutte ou de fuite lorsqu'il est confronté au stress et peuvent être obtenus grâce au yoga, la prière, la méditation ou des exercices de respiration profonde.

Des modifications dans l'expression des gènes

Des recherches précédentes ont prouvé que la relaxation pouvait, entre autres, soulager l'anxiété et ralentir le rythme cardiaque. Mais grâce à cette nouvelle étude, publiée dans le journal PLOS ONE, les chercheurs ont été capables de mesurer l'impact réel de la relaxation sur le corps humain en examinant les modifications dans l'expression des gènes. 
"De nombreuses études ont montré que les interactions entre le corps et l'esprit, comme la relaxation, peuvent réduire le stress et augmenter le bien-être chez les personnes en bonne santé mais aussi contrecarrer les effets cliniques du stress comme l'hypertension, l'anxiété, le diabète et le vieillissement", assure l'un des chercheurs, le docteur Herbert Benson. "Et pour la première fois nous avons identifié les centres psychologiques clés grâce auxquels ces bienfaits sont provoqués".
Au total, 26 adultes - qui n'avaient jamais pratiqué la relaxation - ont participé à cette étude. Avant de commencer l'expérience, les volontaires se sont soumis à des prises de sang avant et après l'écoute d'un CD de relaxation de 20 minutes. Ils ont ensuite pu suivre un entraînement à la relaxation de huit semaines. À la fin, les patients ont à nouveau fait une prise de sang avant et après l'écoute du CD de 20 minutes.

Afin de réellement mesurer les effets de la relaxation sur le corps, les chercheurs ont aussi fait des prises de sang avant et après l'écoute du CD à 25 personnes expérimentées qui observent cette pratique depuis 4 à 25 ans.

Une pratique plusieurs fois millénaire 

Les chercheurs ont alors découvert des différences entre l'expression des gènes dans le sang pris avant et après la formation à la relaxation mais aussi dans le sang prélevé après les cours de relaxation et celui récolté auprès des habitués de la pratique. Les scientifiques ont trouvé, plus précisément, des changements au niveau du métabolisme, de la production d'insuline et de la gestion du stress.

"On pratique la relaxation depuis des milliers d'années et découvrir ces effets au niveau du génome apporte une crédibilité supplémentaire à ce que certains ont appelé la médecine new age", assure le docteur Benson.

Cette étude est loin d'être la première à montrer que la relaxation à des effets positifs sur le corps. Une recherche menée par l'université de Georgetown, publiée en mars, a permis de cibler la façon dont l'acuponcture peut diminuer le stress de manière efficace en bloquant les niveaux de certaines hormones dans les voies neuronales.

Une autre version de la relaxation, la méditation, a elle aussi démontré dans au cours de recherches récentes ses vertus contre le stress, la dépression, l'anxiété mais aussi sa capacité à améliorer la stabilité émotionnelle et la qualité du sommeil.
 

dimanche 28 avril 2013

Aliments biologiques et pesticides: les 10 fruits et légumes les plus contaminés


L’utilisation des pesticides tels qu’on les connaît (insecticides, fongicides et herbicides) a commencé dans les années 70. Quarante ans plus tard, cette pratique est devenue règle d’or et de nombreux résidus de pesticides se trouvent dans nos aliments. Rappelons que selon de récentes études, ils peuvent être la cause de cancers et présenter des menaces pour la fertilité masculine et le développement du foetus.





Chaque année, l’Autorité européenne de sécurité alimentaire (EFSA) analyse quelque 70000 aliments pour connaître leur teneur en résidus de pesticides. Voici ce qu’elle a trouvé, tel que le résume


- Les résidus de 338 pesticides différents dans les légumes
- 319 dans les fruits
- 93 dans les céréales
- 34 dans les produits animaux

Cependant, tous les fruits et légumes ne sont pas logés à la même enseigne. Parmi les mieux lotis: les oignons, les échalotes et l’ail (avec seulement 13,6% des échantillons contaminés), les épinards (24,5%), les asperges et poireaux (24,6%) ou les légumes racines, tels que les pommes de terre ou les radis (26%). Claude Aubert explique:


« L’essentiel des pesticides, et particulièrement des insecticides, sont utilisés à l’extérieur. Ils sont déposés sur les fruits et légumes via un pulvérisateur. C’est pourquoi les végétaux poussant à l’intérieur de la terre, tels que les pommes de terre, sont moins susceptibles d’être contaminés. »


Malheureusement tous les végétaux ne poussent pas sous terre et certains font les frais de l’omniprésence des pesticides. C’est pourquoi Claude Aubert recommande de manger bio le plus possible, car pour certains des végétaux en question, le taux de pesticides est divisé par 10 s’ils proviennent de l’agriculture bio.


« La peau des fruits est la zone où se concentrent le plus d’antioxidants et de vitamines. Mais on ne peut la consommer que si le fruit est bio, car dans le reste des cas, c’est aussi dans la peau que se concentrent les pesticides.’


Pour ce qui est des fruits et légumes les plus contaminés, voici un petit album photos:


Les concombres et courgettes
Plus d’un tiers (37,7%) des concombres et courgettes seraient contaminés, selon l’EFSA.
Mais, selon Claude Aubert, le simple fait de les éplucher permet de se débarrasser d’une bonne partie des pesticides. Rappelons que ceux-ci sont pulvérisés de l’extérieur.


 

Les légumes secs (pois, haricots, lentilles,etc.)
Près de 40% des pois, haricots et lentilles seraient contaminés.




Les fruits à noyau (avocat, abricot, mangue,etc.)
Attention, c’est là que ça devient très inquiétant: plus de la moitié des fruits à noyau (54,8%) seraient porteurs de résidus de pesticides. Il faut savoir que ces fruits, très attaqués par les insectes, font l’objet de nombreux traitements.




Les fruits à pépins (pommes, poires,etc.)
« La pomme est extrêmement attaquée par les vers et autres insectes, rappelle Claude Aubert. Elle est la plante la plus traitée en France. » Résultat: 65,2% des échantillons de pommes et poires, rangées dans la catégorie des fruits à pépins, étaient porteurs de résidus de pesticides.




Les poivrons
Les poivrons, qui sont eux aussi très attaqués par les insectes, font donc l’objet d’un traitement intensif: Les deux tiers (66%) seraient porteurs de résidus de pesticides, à égalité avec…




La salade
Environ les deux tiers des échantillons de laitue analysés présentaient des résidus de pesticides.

Mais pourquoi? « La laitue est cultivée sous serre, ce qui pourrait expliquer que les pesticides ne se dissipent pas dans l’air », explique Claude Aubert.

Ce qui expliquerait pourquoi, à l’échelle mondiale, la salade est le végétal le plus contaminé.




Les fraises
Pour la même raison que la salade, la fraise est elle aussi sujette aux pesticides: 71,3% des échantillons analysés présentaient des résidus.




Les agrumes
75% des citrons et oranges seraient porteurs de résidus de pesticides.




Les framboises
75,9% des framboises seraient contaminées.




Les raisins
A l’échelle mondiale, seuls 73,8% des raisins seraient porteurs de pesticides. Mais en France, ils seraient plus de 81%. « Le raisin porte le triste record du nombre de pesticides utilisés: 26 à lui seul, déclare Claude Aubert. En plus le raisin présente un vrai désavantage: on ne peut pas l’éplucher comme d’autres fruits, alors que c’est sur la peau que se dépose le plus grand nombre de pesticides. »