(Traduction d'extraits)
La vaccination par opposition à l’immunisation
Il
est absolument nécessaire de clarifier les termes VACCINATION par
rapport à IMMUNISATION. Ce sont les médias et le
monde pharmaceutique qui ont influencé le public en leur faisant
croire que la vaccination était l’équivalent d’immunisation. En ce qui
me concerne, je suis pour l’immunisation. Vacciner c’est le
fait d’injecter des substances dans le corps. Cette pratique ne crée pas l’immunité. Ce sont deux choses complètement différentes…
La création de l’immunité est un processus naturel. Le corps utilise plusieurs moyens de défense. La première
ligne de défense est la peau. C’est elle qui arrête tout ce
qui peut être nuisible au corps. Avec un vaccin, cette loi de la nature
est complètement ignorée et contournée étant donné que
l’on injecte des produits que la peau empêcherait de pénétrer dans
le corps.
Nous avons aussi un système respiratoire qui fait aussi partie intégrante des défenses du corps. On
tousse, on éternue, on se mouche pour pouvoir expulser l’ « envahisseur » potentiel. La toux, les éternuements sont les résultats d’un système immunitaire qui
fonctionne. Il ne s’agit pas de réprimer ces réactions
avec des antipyrétiques, des antihistaminiques etc. Si vous utilisez ces
moyens vous risquez de faciliter le rôle des
« envahisseurs ».
Nous disposons aussi du système lymphatique qui, en association avec le travail des intestins, pourra
lutter contre des « envahisseurs » plus redoutables.
Si
votre système immunitaire est affaibli au point de permettre aux
« envahisseurs » de franchir ces barrières,
ces derniers, vivants ou morts, pourront pénétrer dans le flux
sanguin. Une fois dans le sang, ces « envahisseurs » peuvent atteindre
n’importe quel endroit du corps. Pas bon du
tout !
Un
vaccin viole toutes les lois des défenses immunitaires naturelles. Le
vaccin fait pénétrer un pathogène potentiel avec
toutes sortes d’ingrédients TOXIQUES (aluminium, formaldéhyde,
adjuvants etc.) directement dans le flux sanguin. Ceci ne pourrait
jamais se produire avec une immunité naturelle bien construite.
Cette dernière phrase est une sorte de contradiction en soi.
L’immunité est une chose naturelle. Les vaccins sont des choses
artificielles.
Recherche biaisée :
La
recherche officielle nous dit que les vaccins sont sûrs et efficaces ;
c’est son mantra habituel. Mais cette
recherche est biaisée parce qu’elle ne correspond pas aux exigences
scientifiques qui s’appliquent aux autres produits. La Règle d’Or de la
recherche scientifique est l’étude en double aveugle,
randomisée et contrôlée. (RCT).
Cela
signifie que les personnes testées doivent être réparties au hasard en
deux groupes. Les deux groupes reçoivent soit
le véritable produit testé, soit un « faux » produit. On vérifie
ensuite quel groupe de personnes se portent le mieux, quel groupe se
porte moins bien etc. En théorie, il ne peut y
avoir de biais parce que les chercheurs ne savent pas qui fait
partie du premier groupe ou du groupe placebo.
Combien de vaccins a-t-on déjà étudiés de cette manière ?
AUCUN ! La
raison ? Les chercheurs diront qu’ils ne peuvent réaliser pareille
étude (avec
un groupe vacciné par rapport à un groupe non vacciné) parce qu’ils
estiment qu’il serait contraire à l’éthique de ne PAS administrer un
vaccin à un enfant. Ils prétendent ne pas vouloir être
responsables si un enfant devait mourir d’une maladie qui aurait pu
être évitée. Mais s’il arrivait qu’une personne (qui, par exemple, prend
des antidépresseurs) meurt au cours de leurs essais,
là, il ne semble y avoir aucun problème.
Je
dis aux compagnies pharmaceutiques que je me porte volontaire pour que
mon enfant soit repris dans un groupe placebo
pour que l’on puisse comparer son état de santé avec celui de tous
ceux qui ont reçu tous les vaccins recommandés. Je suis aussi certain
qu’il serait relativement facile de rassembler quelques
centaines de milliers d’enfants supplémentaires qui accepteraient de
faire partie du groupe placebo.
Au
lieu d’effectuer des recherches pour vérifier la sûreté et l’efficacité
des vaccins, ils s’intéressent essentiellement
à une chose : est-ce que la personne produit des anticorps par
rapport à l’antigène (« l’envahisseur ») qui se trouve dans le vaccin.
Si la personne fait des anticorps, alors le
vaccin est « sûr » et « efficace ». C’est en tout cas ce qu’ils
veulent nous faire croire. Il convient aussi de savoir que les études
sont rarement effectuées sur des enfants
en-dessous de 4 ans. Comment peut-on prétendre que tel ou tel vaccin
soit sûr et efficace pour un bébé si on n’a jamais testé ce vaccin sur
des bébés ?
Les deux groupes de personnes qui ont une production limitée d’anticorps sont les nourrissons et
les personnes âgées. Or, ce sont précisément ces deux groupes que l’on vaccine le plus […]
Les bébés ne produisent pas d’anticorps avant 6 mois. Dès lors, pourquoi administrer des vaccins à des nourrissons
avant 6 mois s’ils ne peuvent pas produire d’anticorps ?
Même si la théorie vaccinale était valable, il serait absolument
inutile d’injecter un vaccin à un bébé de moins de 6
mois. Comme le système immunitaire d’un enfant n’est pas mature
avant l’âge de deux sans, la surcharge de vaccins avant l’âge de 18 mois
paraît complètement absurde.
Les rappels :
Exposer des enfants qui ont à peine 18 mois à 36 vaccins est un autre aspect de cette science de pacotille. A propos des
recherches faites sur l’efficacité des vaccins (pendant combien de temps tel ou tel vaccin va-t-il être efficace ?), on n’en a pas la moindre idée. C’est d’ailleurs pour
cette raison qu’il existe plusieurs vaccins pour différents antigènes.
Prenons
le dernier vaccin contre le HPV pour les jeunes-filles de 12 ans. Ces
dernières doivent recevoir 3 injections
contre le HPV qui « POURRAIT » (mais la chose n’a jamais été
confirmée) contribuer à provoquer un cancer du col de l’utérus.
Le fabricant prétend que le vaccin est efficace pendant 5 ans.
Ici le problème est double. 1. L’âge
moyen où des personnes font un cancer du col de l’utérus est de 50
ans. 2. Le vaccin est administré à des filles de 12 ans. Nous vivons
dans un système qui pousse les jeunes-filles à se faire
injecter des vaccins dont l’efficacité dure 5 ans pour une maladie
qui, en moyenne, concerne des personnes de 50 ans. Si on administre un
vaccin à une fille de 12 ans, que restera-t-il de
l’efficacité de ce vaccin quand elle aura 17 ans ? Et on continue de
prétendre pouvoir éviter le cancer du col quand elles seront plus
âgées ! Et, ce serait moi le charlatan qui dénonce
ce problème des vaccins ?
Alors,
quels sont les taux d’efficacité des autres vaccins ? Qui le sait ? Ils
n’étudient pas cette
question ; ils disent qu’il faut d’autres études. Une fois que tel
vaccin a été approuvé par la FDA et qu’il est sur le marché, il n’est
plus nécessaire d’encore dépenser de l’argent pour
étudier ses effets. En lieu et place, on a un « tube à essai » de
quatre millions de nouveaux sujets chaque année. Ils peuvent se détendre et même ne jamais s’inquiéter de
quelque plainte que ce soit parce que le gouvernement les protège de toute responsabilité.
Comme
aucune étude ne peut déterminer avec exactitude la durée d’efficacité
des vaccins, il sera possible de recommander
sans fin des piqûres de rappel. Les vaccins qui me préoccupent le
plus sont les vaccins qui s’administrent en quatre fois. Si les 3
premières injections ne confèrent pas d’immunité, comment
peut-on savoir que la dernière injection pourra procurer une
immunité à vie ? Pourquoi, par exemple les 2 premières doses d’un vaccin
seraient-elles seulement valables pour une année, et
comment se ferait-il que la dernière dose soit valable pour une vie
entière ? Tout cela nous semble assez arrogant et manquer totalement de logique.
Source: Health Impactnews
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