La
génération actuelle d’enfants non vaccinés fera partie de celles les
plus saines du monde, et ce sera à
leurs parents que ces enfants-là le devront. Le refus d’un nombre
significatif de parents de vacciner leurs enfants a créé une population
considérable, qui se chiffre en millions à travers le
monde, et a soulevé un nombre important de questions de santé
publique, parmi lesquelles celle de savoir pourquoi nous continuons à
vacciner tout court.
Les enfants non vaccinés n’auront jamais de produits chimiques dangereux, immunosuppresseurs, cancérigènes,
neurotoxiques et toxiques pour la fertilité qui seront injectés dans leur corps.
Ces produits chimiques se retrouvent dans quasi chaque vaccin que la
FDA a approuvé.
Selon le Dr Buchwald,
« la raison pour laquelle les vaccinations sont promues avec une telle
intensité, est d’empêcher de public de réaliser que
les vaccins ne protègent pas et ce, également dans le cas d’une
épidémie, puisque les vaccinés sont dans ce cas-là aussi plus à risque
d’infection que les non vaccinés. La vérité peut rester
cachée tant que le statut vaccinal des gens demeure inconnu et si
tout le monde est vacciné, puisqu’alors toute comparaison avec des gens
non vaccinés devient impossible. Là est donc la véritable
raison à cette fuite en avant implacable, qui consiste à vacciner
autant d’enfants que possible. »
« Avec les vaccinations, nous sommes en train de détruire lentement mais sûrement la santé et
l’intelligence de nos générations futures… La vaccination constitue une maltraitance d’enfants et un crime comme l’humanité. » Feu le Dr Gherard Buchwald,
Allemagne.
“
Je n’ai pas vu d’autisme chez les Amish” a dit le Dr Frank Noonan, un
médecin de famille du comté de
Lancaster, qui a traité des milliers d’Amish depuis un quart de
siècle. « Vous trouverez toutes les autres pathologies, mais vous ne
trouverez pas d’autisme. Nous sommes en plein cœur du
pays des Amish et l’on n’en voit aucun, tout simplement parce qu’il
n’y en a pas. »
Les parents qui ont fait le plus d'études sont ceux qui ont le moins tendance à vacciner,
ce qui contredit justement les
interprétations erronées de beaucoup de professionnels de santé qui
prétendent que les parents ne vaccinent pas parce qu’ils seraient
justement sous-éduqués, pauvres ou désinformés.
Ce
qui est plus encourageant encore pour ceux qui défendent le droit à une
information plus juste sur les
vaccins, c’est que les parents les plus éduqués réduisent aussi leur
adhésion aux autres vaccins infantiles non controversés, un bon signe
donc, qui prouve que la plupart des toxines cachées
dans les vaccins sont petit à petit en train d’être découvertes par
les parents et le public en général.
Selon deux siècles de graphiques et des données statistiques officielles,
nous savons que les vaccins n’ont jamais prévenu la moindre maladie et
qu’ils ne sont
en aucune manière responsables de l’augmentation de l’espérance de
vie ni de la survie aux maladies dans les pays développés de l’Ouest. En
Amérique du Nord, en Europe et dans le Pacifique Sud,
la plupart des déclins de maladies infectieuses susceptibles de
mettre la vie en jeu, sont survenus historiquement soit sans, soit bien avant les
efforts publics de vaccination contre des maladies spécifiques.
Dans une choquante étude de virologie fraîchement publiée, des chercheurs de l’Erasmus Medical Center
aux
Pays-Bas ont démontré qu’un vaccin habituel contre la grippe
saisonnière chez les enfants, entravait un élément-clé de leur système
immunitaire pour la défense contre la grippe. Cette étude
n’avait pas été conduite par des scientifiques hostiles aux vaccins.
Au contraire, elle avait été menée par des chercheurs pro-vaccins qui
ont passé leur carrière à essayer de développer de
meilleurs vaccins. L’auteur principal, Rogier Bodewes, a délivré
sobrement comme message au sujet des vaccins antigrippaux « qu’ils ont
des inconvénients potentiels qui ont précédemment
été sous-évalués et qui sont aussi matière à débat. »
Cette
étude a impliqué une évaluation scientifique poussée du système
immunitaire. Les chercheurs
ont collecté le sang de 27 enfants sains non vaccinés d’environ 6
ans d’âge et celui de 14 autres enfants atteints de fibrose cystique qui
avaient reçu une vaccination annuelle contre la grippe.
Les chercheurs ont trouvé que les enfants non vaccinés avaient une
réponse immunitaire supérieure, leur offrant une protection plus large
contre ce à quoi ils pouvaient être confrontés lors de la
saison antigrippale concernée et même en cas de contact avec des
souches pandémiques.
Nous
avons pris soin d’environ 30 000 ou 35 000 enfants depuis toutes ces
années, et je ne pense pas que
nous ayons eu le moindre cas d’autisme chez ces enfants accouchés
par nous et qui n’ont jamais reçu le moindre vaccin… « Chaque médecin
dans ce pays a commis sans en avoir conscience des
crimes aussi odieux que ce qu’ont fait les nazis » a déclaré le Dr
Mayer Eisenstein.
Selon l’enquête de 2011 sur l’état de santé des enfants non vaccinés et leurs maladies, les résultats montrent que les enfants non vaccinés sont largement moins
affectés par les maladies habituelles.
L’asthme, le rhume des foins et la neurodermatite… une récente étude allemande qui a porté
sur 17 461 enfants entre 0 et 17 ans (Etude KIGGS),
a montré que 4,7% de ces enfants souffrent d’asthme,
10,7% de ces enfants souffrent de rhume des foins et 13,2% de
neurodermatite. Ces chiffres diffèrent dans les pays occidentaux, par
exemple la prévalence de l’asthme chez les enfants américains
est de 6% alors qu’elle est de 14 à 16% en Australie (Australia’s
Health 2004, AIHW). La prévalence de l’asthme chez les enfants non
vaccinés dans notre étude est de 0,2%, celle du rhume des
foins de 1,5% et celle de la neurodermatite de 2%.
Selon l’étude KIGGS, plus de 40% des enfants entre 3 et 17 ans ont été sensibilisés
à au
moins un allergène testé (20 allergènes communs étaient testés) et
22,9% présentaient une maladie allergique. Bien que nous n’ayons pas
réalisé de test sanguin, moins de 10% des parents ont
déclaré que leurs enfants présentaient une allergie.
Il y a aussi des cas d’autisme chez les enfants non vaccinés. Cependant, plus de 80% des
parents ont déclaré qu’il s’agissait seulement d’une
forme atténuée de la maladie ou à tout le moins, d’une forme cependant
« hautement
fonctionnelle » pour l’enfant atteint de cette forme peu
sévère d’autisme. Sur ces 4 enfants, un présentait des taux de métaux
franchement très élevés (mercure, aluminium, arsenic), et
dans un autre de ces cas, la mère fut testée elle aussi très
positive pour le mercure.
L’étude KIGGS a montré que 12,8% des enfants allemands avaient de l’herpès
et que 11%
souffrent d’otite moyenne (une inflammation de l’oreille moyenne).
Si vous comparez cette situation à celle des enfants non vaccinés, vous
pourrez vous apercevoir que l’herpès est vraiment rare
chez ces derniers.(moins de 0,5%)
Chez les jeunes enfants de moins de 3 ans, les verrues
sont très rares. Après 3 ans d’âge,
cependant, la prévalence augmente. Entre 4 et 6 ans, 5 à 10% des
enfants ont des verrues et dans le groupe des 16-18 ans, 15 à 20%
présentent des verrues (Source : netdoktor.at) Seuls 3% des enfants non vaccinés dans notre étude ont présenté
des verrues.
« J’ai
observé que mes enfants non vaccinés étaient en meilleure santé, plus
forts et plus robustes
que leurs pairs vaccinés. Les allergies, l’asthme, la pâleur ainsi
que les problèmes de comportement et d’attention étaient clairement plus
fréquents parmi mes jeunes patients vaccinés. Mes
patients non vaccinés, à l’opposé, n’ont pas souffert de maladies
infectieuses de façon plus fréquente ou plus sévère que leurs pairs
vaccinés : leur système immunitaire gère généralement
très bien ces challenges-là. » Dr Incao, dans son témoignage au sujet de la vaccination anti-hépatite
B.
Les enfants non vaccinés ont 5 fois moins de risque de souffrir d’asthme que les enfants vaccinés, 2,5 fois
moins de risque d’avoir des problèmes de peau et 8 fois moins de risque d’êtres hyperactifs.
Les enfants vaccinés ont 14 fois plus de risque de souffrir d’asthme que les non vaccinés et 9 fois plus de
risque d’avoir des problèmes cutanés.
La
question, que les partisans d’une meilleure information vaccinale
persistent à poser de longue date,
consiste à savoir de quoi aura l’air la santé globale de ces enfants
non vaccinés ? Eh bien, de ce que nous pouvons déduire de ces
données exposées ci-dessus, il y a une indication
assez forte que les enfants non vaccinés d’aujourd’hui feront un
jour partie des populations jouissant de la meilleure santé possible au
monde. Ils pourront alors un jour dire « Merci maman,
merci papa et merci aussi à chaque chercheur et journaliste qui aura
donné à voir le vrai visage des vaccins. »
Dave Mihalovic est un docteur en naturopathie qui s’est spécialisé dans la
recherche sur les vaccins, la prévention des cancers et l’approche naturelle des traitements de santé.
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