Une
nouvelle génération d’adjuvants vaccinaux sont aujourd’hui produits
en masse. Ils sont présentés comme étant sans danger, bien qu’ils
cachent un sale petit secret : ils sont à base huileuse,
ce qui pourrait les rendre plus dangereux encore dans une gamme de
produits qui sont, par définition, déjà toxiques.
Tous
les adjuvants vaccinaux sont par définition toxiques. Leur fonction est
de stimuler le système immunitaire, et de déclencher
une réponse à un agent toxique.
Une
nouvelle génération d’adjuvants a été lancée ; ils sont présentés comme
moins toxiques que tous ceux qui ont précédé,
alors qu’en même temps, ils sont supposés faire du meilleur travail
que leurs prédécesseurs, permettant au système immunitaire de réagir à
des antigènes plus faibles. Ceci nous mène à la question
de savoir comment un
adjuvant peut à la fois être plus sûr et à la fois plus apte à stimuler
le système immunitaire pour l’obtention de réponses plus
fortes, nécessaires à la production d’anticorps pour des antigènes
en plus faibles quantités.
Ces
nouveaux adjuvants sont fabriqués à partir de vésicules de membrane
externe (VME) de bactéries. Dans une bactérie, les VME
sont des espèces de sacs à l’extérieur de la membrane pour la
protéger dans des environnements hostiles. Le rôle d’une VME est d’être
toxique.
C’est par la technologie de l’ADN recombinant qu’on obtient des bactéries modifiées
qui vont permettre de produire ces VME, destinées à être utilisées comme antigènes ou adjuvants pour les vaccins.
Tous ces produits qui sont cultivés sur la surface des microbes ont une chose en commun :
ce sont des protéoliposomes…
Ces nouveaux
adjuvants ou antigènes avec adjuvants incorporés sont particulièrement
préoccupants. Il est connu que les graisses et les huiles
peuvent devenir particulièrement dangereuses quand elles sont injectées.
C’est leur
ressemblance avec les tissus normaux du corps qui en est la raison.
Les graisses ne pénètrent normalement jamais dans le corps par
injection. Quand elles sont soit digérées ou créées dans le
corps, il n’y a pas de problème. L’injection n’est pas du tout la
voie de pénétration normale des lipides dans le corps.
Un
lipide injecté peut être considéré par le système immunitaire comme un
envahisseur ; ce
qui entraîne la production d’anticorps pour lutter contre cet
envahisseur. Comme les lipides existent normalement partout dans le
corps, quand le système immunitaire se radicalise en voyant un
ennemi dans le lipide, il ne peut que l’attaquer où qu’il se trouve,
dans quelque partie du corps que ce soit. C’est la définition même de
la maladie auto-immune : le système immunitaire du
corps commence à s’attaquer lui-même.
Ce n’est un
secret pour personne que l’injection de lipides provoque des maladies
auto-immunes. En fait la chose est tellement bien connue que
l’injection de lipide est une technique standard mise au point pour
créer des maladies auto-immunes chez les animaux de laboratoire. En
particulier, l’ingrédient actif dans l’adjuvant de Freund
est un lipide qui est utilisé pour provoquer un analogue de la
polyarthrite rhumatoïde humaine chez les rats de laboratoire.
Pourtant des
lipides sous forme de Vésicules de membrane externe (VME) recombinés
sont ajoutés aux vaccins et injectés à des êtres
humains !
POURQUOI AVOIR RECOURS A DES ADJUVANTS VME ?
Il
y a une volonté de lancer les adjuvants VME parce que les
antigènes des vaccins – cette partie des vaccins qui est sensée
déclencher une réaction immunitaire avec la création d’anticorps –
doivent créer une forte réponse immunitaire. Mais la tâche n’est
pas facile, sauf si l’antigène est un microbe vivant susceptible de
provoquer une maladie. C’est la raison pour laquelle on a
traditionnellement utilisé des microbes atténués ou tués.
Toutefois, il
n’est pas facile de produire ces microbes affaiblis ou tués ; on ne peut
non plus en accélérer le processus. Cela coûte
beaucoup d’argent et dans le cas de la grippe, le processus peut
prendre trop de temps pour pouvoir répondre à une épidémie.
Ainsi, l’approche
moderne consiste à utiliser des morceaux de microbes, ou mieux à faire
se développer ces morceaux de microbes grâce à la
technologie de l’ADN recombinant, comme avec les plants de tabac. Le
problème avec cette méthode est que ces morceaux de protéines ne
permettent pas une réponse immunitaire suffisante. Dès lors,
du fait que l’ancienne méthode avec l’aluminium ne fonctionne pas
suffisamment bien, il s’est avéré nécessaire d’utiliser des adjuvants
plus puissants pour obtenir cette réponse immunitaire.
C’est la raison pour laquelle on assiste aujourd’hui à une ruée pour
la production d’antigènes et d’adjuvants.
Une fois que le
processus de production d’un antigène particulier ou d’un adjuvant a été
élaboré, il devient rapidement peu coûteux d’en
produire à grande échelle pour les vaccins.
Il existe un
vaccin avec adjuvant VME sur le marché, c’est le Cervarix. Son adjuvant
porte le nom de ASO4. Il contient de l’aluminium, ainsi
qu’un produit chimique qui est un lipide (MPL).
QU’EN EST-IL DE LA SECURITE DES ADJUVANTS VME ?
Les adjuvants ont
été découverts par hasard quand on a remarqué que les récipients de
vaccins sales, contaminés, permettaient à terme d’obtenir
de meilleurs résultats dans la production d’anticorps. Il s’agit là
du sale petit secret de la vaccinologie ; c’est cette découverte qui a
conduit à la contamination intentionnelle des
vaccins. Les contaminants ont été rebaptisés adjuvants.
Il est certain
que les adjuvants provoquent des effets secondaires. Celui qui est
devenu la norme, l’aluminium, est une toxine connue. Mais, du
fait que l’aluminium permet de rendre les vaccins plus efficaces
pour la production d’anticorps, ses caractéristiques toxiques ont été et
sont toujours rejetées sous le tapis.
On
a bien sûr testé d’autres adjuvants, mais ils
se sont avérés être encore plus toxiques. Parmi les pires, on trouve
les adjuvants huileux, les adjuvants de Freud. On a rapidement réalisé
qu’ils étaient vraiment trop toxiques pour être
utilisés dans les vaccins ; mais ils ont vite trouvé une autre
utilisation commerciale. Les adjuvants de Freud sont aujourd’hui
couramment utilisés dans la recherche médicale parce qu’ils
peuvent, chez les animaux de laboratoire, créer l’équivalent des
maladies auto-immunes qui se produisent chez l’homme, comme la
polyarthrite rhumatoïde. Ces animaux sont ensuite étudiés pour
trouver des traitements pour les maladies
humaines.
Aujourd’hui, on a trouvé les adjuvants VME qui sont présentés comme plus sûrs encore. Un rapport récent de l’Académie Nationale des Sciences (Proceedings of the national Academy of Sciences (PNAS) évoque : « un mélange moins toxique du lipide monophosphorylé », une espèce (de MPL) obtenue par la méthode VME.
Il est à noter que l’accent est mis sur les termes « moins toxique ».
L’affirmation
fallacieuse que les lipides VME sont sans danger est basée sur le fait
qu’il s’agit de produits naturels. C’est le fait même
qu’ils sont naturels – littéralement semblables à ceux qui sont
normalement produits par la chimie du corps – qui les rend si dangereux.
Leur injection
peut les amener à être considérés comme des toxines et engendrer la
production d’anticorps dirigés contre ces produits mêmes que l’on
retrouve
dans le corps. Une maladie auto-immune n’est rien d’autre que le
système immunitaire qui se retourne contre lui-même.
On met évidemment
l’accent sur la capacité des lipides VME à déclencher une forte réponse
immunitaire pour la production d’anticorps…
C’est sur la base
d’une espèce de foi qu’il nous faut accepter que ces lipides sont sans
danger, alors que toutes les autres formes de lipides
sont trop dangereuses pour les êtres humains. Mais où se trouvent
les études, les tests qui le prouvent ?
QU’EN EST- IL DU PROCESSUS D’APPROBATION ?
La FDA a
fait clairement savoir qu’elle n’approuvait pas les adjuvants. Sa
logique est
que les adjuvants ne sont pas produits directement pour les
utilisateurs. Ils sont produits pour intervenir dans la composition de
produits qui arriveront aux utilisateurs. La FDA ne se centre
pas sur la série des composants des produits médicaux. Mais, le fait
d’avoir donné sa bénédiction pour les vaccins, lui permet d’éluder la
question ayant trait à la toxicité des
adjuvants.
De toute
évidence, il n’est pas possible d’effectuer des tests sur des produits
qui sont destinés à engendrer des dommages - c’est
précisément le cas de tous les adjuvants vaccinaux - et espérer en
démontrer l’innocuité. On ne verra donc jamais de tests de sécurité sur
ces produits ; ce serait bien entendu considéré
comme contraire à l’éthique.
Mais apparemment pas si inéthique que cela s’il n’y a aucune raison de stopper leur utilisation dans les vaccins.
Les adjuvants VME
sont présentés comme étant sans danger, mais cependant mieux à même
d’engendrer une réponse immunitaire à partir d’antigènes à
faibles doses – processus qui, par définition, exige des adjuvants
plus toxiques et non des adjuvants moins toxiques.
Ainsi, la nouvelle génération des adjuvants VME serait-elle pire que jamais ? Y a-t-il des raisons de penser autrement ?
Nous pouvons cependant être certains d’une chose : la réponse, nous la trouverons dans le corps de nos
enfants.
Ces adjuvants sont aujourd’hui produits en masse. Ils forment la base de l’énorme quantité de vaccins qui sont dans le pipeline.
http://gaia-health.com/gaia-blog/2013-01-26/new-generation-of-vaccine-adjuvants-worst-ever/
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